19 novembre 2002
Taux de change
-
-
Supply Shocks and Real Exchange Rate Dynamics: Canadian Evidence
Les auteurs étudient l'incidence de chocs d'offre sur le taux de change réel du dollar canadien. -
Nominal Rigidity, Desired Markup Variations, and Real Exchange Rate Persistence
Dans cette étude, l'auteur développe et estime un modèle d'équilibre général à prix rigides, qui explique la persistance du taux de change réel. -
Does Exchange Rate Policy Matter for Growth?
Les études précédentes sur les liens entre le type de régime de change et la croissance économique à moyen terme d'un pays s'appuyaient sur une typologie en trois volets, qui établissait une distinction entre régime de changes fixes, régime de changes flottants et régime intermédiaire. -
A Market Microstructure Analysis of Foreign Exchange Intervention in Canada
Dans cette étude, l'auteur clarifie le rôle que jouent les cambistes dans la relation entre les interventions sur le marché des changes et les taux de change nominaux. Pour ce faire, il recourt à un ensemble unique de données sur les opérations, décomposées par cambiste et par type de client. Il vérifie également un certain nombre d'hypothèses relatives à la microstructure du marché. -
18 mai 2002
Les acquisitions d'entreprises par des intérêts étrangers et le dollar canadien : examen des données et implications
Depuis 1995, les acquisitions d'entreprises étrangères par des résidents canadiens et celles d'entreprises canadiennes par des résidents d'autres pays ont augmenté. Durant la majeure partie de cette période, même si le dollar s'est déprécié, le solde net des flux d'investissements directs étrangers est demeuré pratiquement nul. La récente tendance à la hausse des flux d'acquisitions bilatéraux s'inscrit dans le processus de la mondialisation, qui incite les entreprises à regrouper et à rationaliser leurs opérations, et n'est pas liée au cours du dollar canadien. Selon les modèles types d'équilibre des actifs internationaux, il n'existerait aucune relation entre le taux de change du dollar canadien et les prises de contrôle d'entreprises canadiennes par des intérêts étrangers puisqu'une variation du taux de change ne confère pas d'avantage systématique aux acheteurs étrangers par rapport aux acheteurs nationaux. Les acquisitions d'entreprises canadiennes par des non-résidents se traduisent vraisemblablement par une amélioration du bien-être. Ces prises de contrôle reposent sur le consentement mutuel des parties et supposent que les acheteurs étrangers s'estiment en mesure de faire fructifier davantage l'actif de l'entreprise.