Dynamique des entreprises
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Market Size and Entry in International Trade: Product Versus Firm Fixed Costs
Cette étude développe un cadre théorique afin de déduire la nature des coûts fixes de la relation entre l’entrée sur les marchés internationaux et la taille des marchés de destination. Si les coûts fixes se situent au niveau des entreprises, celles-ci peuvent tirer profit d’externalités intraentreprises pour élargir leur gamme de produits. -
The Extensive Margin of Trade and Monetary Policy
Dans cette étude, nous examinons les effets des chocs de politique monétaire sur la participation des entreprises au marché de l’exportation. Nous élaborons à cette fin un modèle d’équilibre général dynamique et stochastique à deux pays dans lequel 1) des entreprises hétérogènes prennent des décisions prospectives quant à leur participation au marché de l’exportation et 2) les ajustements des prix sont échelonnés entre les entreprises et dans le temps. -
Does Outward Foreign Investment Matter for Canadian Productivity? Evidence from Greenfield Investments
Dans cette étude, nous cherchons à comprendre comment les investissements directs étrangers sortants influent sur la productivité des entreprises canadiennes. Nous estimons les effets d’investissements directs étrangers de création sur certaines mesures de la productivité des entreprises, à l’aide de données sur plus de 4 000 projets d’investissement de ce type réalisés par quelque 2 000 sociétés canadiennes de 2003 à 2014. -
The Scale and Scope of Online Retail
L’étude examine l’évolution du commerce de détail en ligne sur la période de 1999 à 2012 à l’aide de données confidentielles d’entreprises canadiennes ventilées par produits. Le chiffre d’affaires des détaillants en ligne est décomposé en deux éléments : la gamme, soit le nombre de catégories de produits, et l’ampleur, soit le chiffre d’affaires moyen par catégorie de produits. -
Firm Dynamics and Multifactor Productivity: An Empirical Exploration
Certaines indications donnent à penser que le dynamisme des entreprises a diminué dans les économies avancées. En particulier, les taux d’entrée et de sortie d’entreprises ont chuté, ce qui semble indiquer que le processus de destruction créatrice a perdu de sa vigueur. Parallèlement, la croissance de la productivité a ralenti. Certains croient que la baisse des taux d’entrée et de sortie explique en partie la décélération de la croissance de la productivité.