Les auteurs étudient l'interdépendance des politiques budgétaire et monétaire au moyen d'un modèle d'équilibre général dynamique et stochastique à prix rigides et taux d'inflation tendanciel non nul. Les politiques en question sont caractérisées par une règle selon laquelle une fraction k de la dette publique doit être garantie par la valeur actualisée des excédents primaires présents et futurs, et la fraction restante par les revenus de seigneuriage.