L'auteure étudie l'incidence des mouvements du taux de change sur la conduite de la politique monétaire en Australie, au Canada, en Nouvelle-Zélande et au Royaume-Uni. Elle élabore et estime un modèle structurel d'équilibre général à deux secteurs dans lequel les prix et les salaires sont rigides et les variations du taux de change se répercutent de façon limitée.