En nous appuyant sur l’analyse structurelle résiduelle de Barnett et Charbonneau (2015), nous décomposons les parts de marché du Canada dans les importations américaines, européennes et chinoises de biens non énergétiques en trois parties : la compétitivité, l’évolution des préférences et un terme d’interaction. Nous constatons que, malgré la dépréciation du dollar, le Canada a continué de perdre des parts de marché de 2014 à 2017 (environ 0,4 point de pourcentage par année sur quatre ans).