La hausse des prix à la consommation s’explique peut-être par le déplacement des achats des ménages vers de nouveaux produits - surtout durables et semi-durables - assortis de prix plus élevés. L’auteur applique la méthodologie de Bils (2009) à de nouvelles données canadiennes sur les prix des biens et services non liés au logement afin d’estimer la part des augmentations imputable à l’amélioration de la qualité plutôt qu’à l’inflation pure.