D’après les recherches effectuées à la Banque du Canada avant le dernier renouvellement de l’entente sur la maîtrise de l’inflation en 2011, les avantages découlant d’une cible inférieure à 2 % ne justifiaient pas le risque accru d’être contraints par la borne limitant à zéro les taux d’intérêt nominaux (la « borne du zéro »).