Nous proposons un modèle pour comprendre les faibles taux de migration observés. Ce modèle tient compte de l’interaction entre lieu d’habitation et richesse dans la décision de déménager. Nous examinons diverses mesures et constatons que des bons de réinstallation temporaires n’améliorent que légèrement le bien-être des ménages, mais que des réglementations moins sévères en matière de logement peuvent réduire l'écart de bien-être en diminuant le prix des logements à l’échelle nationale.