Dans cette étude, l’auteure quantifie l’incidence d’une amélioration des marchés boursiers sur les agrégats macroéconomiques et le bien-être. Elle a recours à un modèle d’économie ouverte, qui développe le modèle d’Angeletos (2007) : ainsi, dans les sociétés fermées, les entrepreneurs sont confrontés à un risque idiosyncrasique en matière de productivité.