Après avoir atteint un creux le 23 mars, les grands indices boursiers se sont redressés pour s’établir à un niveau environ 10 % inférieur à leurs sommets. Cependant, les actions plus sensibles aux cycles économiques n’ont pas affiché un aussi bon rendement pendant cette remontée des marchés. On peut donc en déduire que les prix sur les marchés boursiers sont fondés sur une reprise économique plus lente et plus modeste.
Une monnaie numérique de banque centrale de détail libellée en dollars canadiens pourrait, en théorie, susciter une concurrence quant au financement des banques par les dépôts.
De graves perturbations sur les marchés financiers, comme celles observées durant la crise financière mondiale de 2008 ou la pandémie de COVID-19, peuvent nuire à la stabilité de l’ensemble du système financier et aggraver les ralentissements macroéconomiques.
Nous quantifions la réaction des cours des actions, des contrats à terme sur obligations et des rendements des taux de change sur les marchés américains à des chocs pétroliers provoqués par des annonces sur les stocks d’hydrocarbures.
La plupart des modèles de prévisions macroéconomiques ne tiennent pas compte du risque de crise, soit le risque d’une baisse marquée et soudaine du produit intérieur brut (PIB). Pourtant, les décideurs se préoccupent de ce type de risque extrême étant donné les coûts socioéconomiques substantiels qui en découleraient.