Les auteurs utilisent des méthodes de régression avec changement de régime pour étudier les krachs et examiner la validité de deux thèses très différentes qui pourraient expliquer ceux qui sont survenus dans le passé. La première repose sur une description des épisodes antérieurs de folie spéculative et de panique. Son argument central est que la « surévaluation » accroît la probabilité et l'ampleur attendue des krachs.