20 novembre 1996
Publication
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11 novembre 1996
La croissance de la productivité dans le secteur des services commerciaux
Pendant plus de trois décennies, le taux de croissance de la productivité dans le secteur des services commerciaux a continuellement été inférieur à celui du secteur des biens. Dans le même temps, le secteur des services a fortement augmenté sa contribution à l'augmentation de la production et de l'emploi. D'après certains observateurs, cette tendance amènera un ralentissement de la croissance de la productivité à l'échelle de l'économie. Dans cet article, l'auteure passe en revue l'évolution récente de la productivité dans le secteur des services ainsi que les principaux facteurs qui l'influencent. L'auteure conclut en affirmant que les services contribueront probablement à la croissance future de la productivité. La situation a été très contrastée dans ce secteur. La productivité est en baisse dans certaines branches, mais elle est stimulée dans d'autres par des facteurs tels que les progrès techniques, la déréglementation et l'intensification de la concurrence. De plus, une grande partie de l'accroissement de la production dans le secteur des services commerciaux est attribuable aux branches où la croissance de la productivité est relativement forte. Par ailleurs, il est possible que les problèmes de mesure de la production dans certaines branches du secteur des services donnent lieu à une sous-estimation de la croissance de la production et de la productivité. Dans la mesure où des services sont utilisés comme intrants intermédiaires dans la production de biens, la sous-estimation de la croissance de la productivité dans le secteur des services entraîne une surestimation proportionnelle de la croissance de la productivité dans le secteur des biens. -
11 novembre 1996
Revue de la Banque du Canada - Automne 1996
Page couverture
Dollar de la Banque d'Angleterre, 1804
Cette pièce fait partie de la Collection nationale de monnaies, Banque du Canada.
Photographie : James Zagon.
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10 novembre 1996
Le marché des contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes
La Bourse de Montréal a lancé en 1988 le contrat à terme sur acceptations bancaires canadiennes à trois mois dénommé BAX. L'auteure explique dans cet article la nature de ce nouvel instrument financier, lequel se négocie sur le parquet de la Bourse de Montréal et est utilisé à des fins de couverture, de spéculation et d'arbitrage. Elle passe brièvement en revue les aspects techniques du marché et explique la différence entre les BAX et les accords de taux futurs. L'auteure fait en outre l'examen de la croissance rapide du marché des BAX et de l'incidence de celle-ci sur le marché des bons du Trésor. -
9 novembre 1996
Le Canada et les institutions financières internationales
Les institutions financières internationales, comme le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et la Banque des Règlements Internationaux, jouent un rôle important dans le système financier mondial. Cet article fait un survol des principales institutions financières internationales dont fait partie le Canada. Les auteurs de l'article décrivent les activités de ces institutions ainsi que la nature de la participation du Canada, notamment celle de la Banque du Canada, à leur fonctionnement. De plus, ils traitent des mesures récentes prises à la suite des Sommets de Halifax et de Lyon en vue d'améliorer l'efficacité des activités des institutions financières internationales. -
8 novembre 1996
Résumé d'un colloque sur les marchés monétaires et les opérations de la banque centrale
L'auteur fait le résumé d'un colloque organisé par la Banque du Canada en novembre 1995. Les participants au colloque se sont penchés sur l'interaction entre les mesures de politique monétaire et le marché monétaire. La Banque a en outre saisi cette occasion pour évoluer les opérations qu'elle effectue actuellement avant que l'implantation d'un Système de transfert de paiements de grande valeur ne l'amène à modifier la façon dont elle met en oeuvre sa politique monétaire au jour le jour. Les études préparées par les conférenciers de l'extérieur ont permis à la Banque de mieux comprendre les innovations qui ont apparu sur les marchés monétaires ces derniers temps et les conséquences qu'elles ont pour la conduite de la politique monétaire. Les séances de travail consacrées aux opérations de la Banque sur les marchés financiers visaient à mieux faire connaître aux opérateurs et aux universitaires la façon dont celle-ci intervient sur ces marchés.