25 octobre 2005
Publication
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25 octobre 2005
Revue de la Banque du Canada - Automne 2005
Page couverture
Des recueils pratiques
Ce livre fait partie de la Collection nationale de monnaies de la Banque du Canada.
Photographie : Gord Carter, Ottawa -
22 octobre 2005
L'incidence de l'appréciation du dollar canadien sur les entreprises du pays : résultats des enquêtes de la Banque du Canada sur les perspectives des entreprises
Pour savoir comment les entreprises ont été touchées par l'appréciation du dollar canadien en 2003 et 2004 et quelles mesures elles ont prises pour y réagir, la Banque a ajouté des questions à l'enquête sur les perspectives des entreprises que mènent chaque trimestre ses bureaux régionaux. Environ la moitié des firmes sondées ont déclaré être désavantagées par l'appréciation de la monnaie du pays, une sur quatre s'est dite avantagée, tandis que les autres ont affirmé que l'effet était neutre pour elles. Jean Mair classe et résume les réactions des entreprises, en indiquant les secteurs qui ont été les plus et les moins durement atteints. Elle explique pourquoi les firmes ont été favorisées ou pénalisées par l'appréciation du dollar. Elle examine aussi les mesures adoptées au fil du temps en réponse à l'appréciation pour voir ce qu'elles peuvent nous apprendre sur le processus d'ajustement des entreprises. -
20 octobre 2005
Rapport sur la politique monétaire – Octobre 2005
La croissance de l’économie mondiale s’est poursuivie à un rythme solide depuis la publication, en juillet, de la Mise à jour du Rapport sur la politique monétaire. -
18 octobre 2005
Quels sont les déterminants des taux de change?
La compréhension des causes à l'origine des variations du taux de change représente un défi constant pour les économistes. Malgré des recherches approfondies, les modèles macroéconomiques traditionnels de détermination du taux de change — à l'exception de l'équation de taux de change de la Banque du Canada — n'ont pas obtenu beaucoup de succès. Cette lacune a incité des économistes à explorer de nouvelles méthodes de modélisation fondées sur des cadres d'analyse plus complexes et plus réalistes. Dans le contexte de la forte appréciation que le dollar canadien a connue en 2003 et 2004, Bailliu et King passent en revue les différents modèles de taux de change macroéconomiques ainsi que les modèles microstructurels qui mettent en relief l'importance des mécanismes de transaction, de l'asymétrie d'information et de l'hétérogénéité des investisseurs dans la compréhension de la dynamique de court terme des taux de change. Les auteurs dressent un bilan des connaissances actuelles concernant les déterminants du taux de change, soulignent les récentes percées dans ce domaine et dégagent de nouveaux axes de recherche prometteurs. -
7 octobre 2005
Enquête sur les perspectives des entreprises - Automne 2005
Les entreprises restent optimistes dans l’ensemble à l’égard des perspectives économiques. -
5 octobre 2005
Le taux de change et la poursuite d'une cible d'inflation au Canada
Un taux de change flottant pouvant s'ajuster librement aux chocs qui frappent les économies canadienne et mondiale constitue une composante essentielle du cadre de maîtrise de l'inflation de la Banque du Canada. Ce taux de change joue un rôle important dans le mécanisme de transmission de la politique monétaire. D'un point de vue pratique, il est intéressant de se demander comment la Banque intègre les fluctuations du taux de change dans le processus décisionnel relatif à la conduite de la politique monétaire. C'est seulement après avoir établi la cause et le degré de persistance d'une variation du taux de change, ainsi que son effet net probable sur la demande globale, que la Banque peut déterminer la mesure de politique monétaire à appliquer pour garder l'inflation à un niveau bas, stable et prévisible. Ragan se penche sur la nécessité de poursuivre des cibles d'inflation et sur le mécanisme de transmission de la politique monétaire, y compris sur le rôle du taux de change, avant de décrire deux catégories de variations du taux de change et leurs implications pour la politique monétaire.