Notes analytiques du personnel
-
-
Using Exchange-Traded Funds to Measure Liquidity in the Canadian Corporate Bond Market
Nous présentons une nouvelle variable d’approximation de la liquidité des obligations de sociétés fondée sur le prix des fonds négociés en bourse qui détiennent ce type de titre. Cette variable mesure la liquidité quotidienne moyenne de 900 obligations de sociétés, soit beaucoup plus que le nombre pris en compte par les autres variables d’approximation utilisées dans l’analyse précédente de la Banque du Canada. La nouvelle variable brosse néanmoins un tableau très similaire des conditions de la liquidité, et confirme le résultat précédent, à savoir que la liquidité des obligations de sociétés s’est améliorée en général depuis 2010. -
The Formation of House Price Expectations in Canada: Evidence from a Randomized Information Experiment
Nous effectuons une expérience randomisée axée sur l’information à l’aide de données semblables à celles de l’enquête sur les attentes des consommateurs au Canada. Nous mettons en lumière un lien de causalité indiquant que les répondants revoient leurs attentes à court et à moyen terme à l’égard de la croissance future des prix des logements en fonction de la dynamique observée à court terme. Cependant, d’un point de vue empirique, la croissance des prix des logements a tendance à revenir à sa moyenne à moyen terme. -
Relative Value of Government of Canada Bonds
Les prix des obligations du gouvernement du Canada en circulation qui génèrent des flux de trésorerie très semblables peuvent être différents. Nous étudions ce qui explique cet écart. Les obligations qui se négocient plus souvent et qui produisent des revenus élevés sur le marché des pensions ont tendance à se vendre plus cher. Les prix des obligations dont l’échéance et la durée résiduelle sont longues ont tendance à être plus bas. Ce contraste entre les obligations chères et bon marché est important, parce que le volume des transactions et les revenus associés aux opérations de pension peuvent changer rapidement, contrairement à l’échéance et à la durée résiduelle, qui demeurent stables.