La présente étude propose un modèle de marchés de gré à gré. Certains acheteurs ont accès à de l’information qui leur permet de repérer les actifs de haute qualité.
Au Sommet de Pittsburgh, en 2009, les pays du G20 ont annoncé leur engagement de procéder à la compensation de toutes les opérations sur les dérivés de gré à gré standardisés par l’entremise de contreparties centrales. Depuis, les contreparties centrales ont gagné en importance, et elles ont fait, de même que les marchés des produits dérivés de gré à gré, l’objet d’une vaste réforme réglementaire.
Les auteures retracent l’élaboration du cadre de normes réglementaires du secteur bancaire dit Bâle III. Elles expliquent en quoi ce dispositif s’appuie sur les deux cadres précédents et répond aux fragilités révélées par la crise financière mondiale. Elles montrent comment l’application des normes favorisera une plus grande stabilité du système financier et fournira une solide assise à la croissance économique.
Les dernières années ont vu renaître un intérêt pour la réglementation des marchés interbancaires. Une revue de la littérature sur ce sujet souligne deux lacunes. D’abord, la plupart des auteurs se basent sur des hypothèses ad hoc quant à l’univers des contrats du marché interbancaire. Par conséquent, il est difficile de tirer des conclusions convaincantes pour la formulation des politiques.
Cette étude tente de contribuer à la littérature sur les mesures de contrôle des capitaux en s’inspirant des travaux consacrés à l’estimation de la fonction de réaction des politiques monétaires. À partir d’une nouvelle base de données hebdomadaires sur les mesures de contrôle des capitaux prises par 21 économies émergentes entre le 1er janvier 2001 et le 31 décembre 2015, nous analysons les motifs – mercantilistes ou prudentiels – derrière le recours aux politiques de contrôle des capitaux.
Ce rapport donne une description technique détaillée du Cadre d’évaluation des risques macrofinanciers (CERM) dans sa version actualisée. Cette nouvelle mouture, qui remplace la version présentée dans Gauthier, Souissi et Liu (2014), est le modèle de simulation que la Banque du Canada utilise pour soumettre les établissements bancaires à des tests de résistance, plus particulièrement les banques d’importance systémique nationale.
À l’aide d’un modèle d’équilibre général dynamique et stochastique, j’analyse l’incidence des prêteurs non réglementés sur le marché hypothécaire. Dans mon modèle, on retrouve deux types d’intermédiaires financiers qui se distinguent sous trois aspects. Tout d’abord, seuls les intermédiaires réglementés sont soumis à des exigences de fonds propres.
La première sous-gouverneure, Carolyn A. Wilkins, passe en revue les thèmes importants débattus par les participants de l’atelier « Enjeux touchant les cadres de conduite de la politique monétaire : vers le renouvellement de la cible d’inflation en 2021 ».
Les technologies, la tolérance au risque et la réglementation peuvent amener les courtiers à réduire les activités de négociation où ils se portent contrepartiste (utilisation de leur propre bilan pour la vente et l’achat de titres) au profit de celles menées en qualité de mandataire (appariement des ordres des clients).