Document de travail du personnel 2022-14Felipe Alves
Durant les périodes de ralentissement économique, les travailleurs se retrouvent cantonnés dans des emplois à faible productivité et les salaires stagnent. Je construis un modèle à agents hétérogènes et marchés incomplets comprenant une progression de carrière complète qui tient compte de ces réalités. Un choc financier défavorable, étalonné d’après la dynamique de la Grande Récession aux États-Unis, reproduit la lente reprise et l’absence de désinflation observées pendant cette période.
Le gouverneur Tiff Macklem parle de la nécessité des investissements des entreprises et d’une productivité accrue pour assurer une croissance économique non inflationniste.
Sommaire du discoursTiff MacklemSommet économique Canada 360° de la Chambre de commerce du CanadaOttawa (Ontario)
Le gouverneur Tiff Macklem explique comment – par des investissements dans les technologies et la main-d’œuvre – les entreprises peuvent favoriser une croissance non inflationniste de l’économie.
Bien que le nombre de demandes d’emploi ait augmenté, le taux d’obtention d’un emploi reste relativement inchangé, tandis que le taux de cessation d’emploi a considérablement diminué. Nous démontrons que plutôt que d’accroître la probabilité de trouver un emploi, la hausse des demandes d’emploi augmente la probabilité de trouver de bons appariements, comme le montre la baisse du taux de cessation d’emploi.
Le sous-gouverneur Timothy Lane parle de la décision annoncée par la Banque hier de laisser le taux directeur inchangé. Il explique aussi comment l’adoption des technologies numériques a soutenu la résilience durant la pandémie de COVID-19.
Le sous-gouverneur Tim Lane parle de la plus récente annonce de la Banque concernant le taux directeur et explique comment la transformation numérique a soutenu la résilience durant la pandémie et pourrait accroître le potentiel de croissance de l’économie.
Depuis le milieu des années 2000, la productivité du travail ralentit au Canada malgré les énormes avancées technologiques qui étaient censées la faire progresser. L’étude cherche à déterminer si la sous-évaluation des retombées de l’économie numérique peut expliquer ce paradoxe.