Les modèles d’oligopole classiques montrent que les entreprises atténuent la concurrence qu’elles se font sur les prix par la différenciation verticale des produits.
Les auteurs proposent un modèle d’équilibre général dynamique et stochastique de type néo-keynésien intégrant des liens entre les sphères réelle et financière d’une petite économie ouverte. Leur modèle sert à analyser différents scénarios relatifs à l’incidence de chocs financiers et de politiques macroprudentielles sur l’économie canadienne.
Document de travail du personnel 2013-40Yahong Zhang
La récente crise financière et la récession qui l’a succédé ont suscité beaucoup d’intérêt à l’égard des sources de fluctuation du chômage. La majeure partie des recherches menées par le passé sont fondées sur l’existence d’un seul marché du travail pour l’ensemble de l’économie et, par conséquent, font abstraction des différences sectorielles entre les marchés du travail.
Les auteurs examinent les récentes évolutions qu’ont connues certaines monnaies numériques, en s’intéressant en particulier aux monnaies exclusives à une plateforme, comme les crédits Facebook.
Ce rapport fournit une description technique détaillée de TOTEM II, la nouvelle version du modèle de projection trimestrielle que la Banque du Canada a commencé à utiliser en juin 2011, en remplacement de TOTEM (Murchison et Rennison, 2006).
Les auteurs examinent la sécurité des obligations d’État en situation d’incertitude knightienne sur les marchés financiers. Dans leur modèle, l’insensibilité des obligations d’État à l’information dépend des complémentarités stratégiques entre les contreparties et de la structure des rapports de négociation.
Dans leur étude, les auteurs analysent les effets sur le plan macroéconomique de diverses mesures fiscales touchant l’habitation à l’aide d’un modèle dynamique d’équilibre général.
Les auteurs étudient les implications de la politique budgétaire pour le risque souverain au moyen d’un modèle qui détermine la limite budgétaire d’un pays, c’est-à-dire le point à partir duquel il n’est plus possible, pour des raisons économiques ou politiques, de stabiliser la dette publique en rajustant les impôts et les dépenses.
L’étude explore les conséquences macroéconomiques de programmes d’assainissement budgétaire dont on ne connaît avec certitude ni le calendrier, ni la composition (l’État haussera-t-il les impôts ou réduira-t-il ses dépenses?).
Les auteurs proposent un modèle théorique pour l’analyse de la relation entre les chocs de crédit, les défaillances d’entreprises et la volatilité, ainsi que pour l’étude des effets de ces chocs sur la dynamique du cycle économique.