Certains analystes attribuent en partie la vigueur affichée par la consommation entre 1995 et 2000 à la forte augmentation des cours boursiers. Selon les données observées au Canada, cependant, les dépenses de consommation réagissent davantage aux variations des prix de l'immobilier qu'à celles du cours des actions.
Depuis l'automne 1997, les bureaux régionaux de la Banque du Canada, situés à Halifax, Montréal, Toronto, Calgary et Vancouver, mènent chaque trimestre des consultations auprès d'entreprises d'un bout à l'autre du pays.
Dans cette étude, nous employons des modèles à coûts d'ajustement polynomiaux (connus sous le nom de modèles PAC) pour analyser et prévoir l'évolution des principales composantes du secteur extérieur de l'économie américaine.
Les auteurs étudient le lien entre la consommation et les composantes de la richesse au Canada. Pour ce faire, ils emploient un modèle vectoriel à correction d'erreurs en identifiant les chocs permanents et transitoires au moyen des restrictions de cointégration proposées par King, Plosser, Stock et Watson (1991) ainsi que par Gonzalo et Granger (1995).
Les auteurs procèdent à l'évaluation du contenu informationnel des indices de confiance des consommateurs à des fins de prévision des dépenses de consommation agrégées aux États-Unis.
La forte augmentation de la richesse au cours de la deuxième moitié des années 1990 a généré l'équivalent d'un certain montant d'épargne et, du même coup, un glissement important du taux d'épargne des ménages. Dans la présente étude, l'auteur tente d'expliquer cette baisse importante du taux d'épargne observée depuis 1995.
Au moyen de techniques de cointégration, les auteurs étudient les déterminants structurels de l'évolution du taux d'épargne des particuliers au Canada au cours des trente dernières années. Leur principale conclusion est que le taux d'intérêt réel, l'inflation attendue, le ratio du solde budgétaire de l'ensemble du secteur public au PIB nominal et le ratio de l'avoir […]
L'étude examine le lien entre les dépenses de consommation et l'indice des attitudes des consommateurs du Conference Board, que l'on considère largement depuis quelques années comme un indicateur avancé utile des dépenses de consommation. Toutefois, l'utilité de cet indice aux fins de l'analyse de la consommation est encore mal étayée du point de vue théorique. […]