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The Exchange Rate and Canadian Inflation Targeting

Document de travail du personnel 2005-34 Christopher Ragan
L'auteur explique en termes non techniques le rôle du taux de change dans la politique monétaire canadienne, qui est axée sur la poursuite d'une cible d'inflation.
5 octobre 2005

Le taux de change et la poursuite d'une cible d'inflation au Canada

Un taux de change flottant pouvant s'ajuster librement aux chocs qui frappent les économies canadienne et mondiale constitue une composante essentielle du cadre de maîtrise de l'inflation de la Banque du Canada. Ce taux de change joue un rôle important dans le mécanisme de transmission de la politique monétaire. D'un point de vue pratique, il est intéressant de se demander comment la Banque intègre les fluctuations du taux de change dans le processus décisionnel relatif à la conduite de la politique monétaire. C'est seulement après avoir établi la cause et le degré de persistance d'une variation du taux de change, ainsi que son effet net probable sur la demande globale, que la Banque peut déterminer la mesure de politique monétaire à appliquer pour garder l'inflation à un niveau bas, stable et prévisible. Ragan se penche sur la nécessité de poursuivre des cibles d'inflation et sur le mécanisme de transmission de la politique monétaire, y compris sur le rôle du taux de change, avant de décrire deux catégories de variations du taux de change et leurs implications pour la politique monétaire.
24 novembre 2004

Prix des actifs et politique monétaire : une perspective canadienne

L'article traite de la mesure dans laquelle la politique monétaire canadienne doit réagir aux bulles d'actifs. La principale conclusion des auteurs est que le maintien de la hausse des prix à la consommation à des niveaux bas et stables constitue la meilleure contribution que les autorités monétaires puissent apporter à la promotion de la stabilité économique et financière, même en présence de bulles. Dans des circonstances extrêmes — soit lorsqu'une bulle a été clairement décelée et que son éclatement est de nature à occasionner des coûts appréciables pour l'économie —, les autorités monétaires pourraient être mieux en mesure d'atteindre cet objectif en intervenant à contre-courant du marché, même au prix d'écarts temporaires du taux d'inflation par rapport à la cible. Une telle stratégie pourrait atténuer le risque qu'une chute brutale des prix des actifs entraîne une récession et fasse glisser l'inflation, à plus long terme, bien en deçà du taux visé. Les cas où cette stratégie est applicable sont rares, car les économistes sont loin de pouvoir établir de manière systématique et fiable dans quelles conditions le fait d'agir à contre-courant du marché risque davantage de nuire à l'économie que de l'aider. La politique monétaire canadienne devrait se préoccuper davantage des bulles immobilières que des bulles boursières, car les prix de l'immobilier sont plus susceptibles d'être poussés à la hausse par un assouplissement excessif des conditions du crédit intérieur que ceux des actions, qui sont en grande partie déterminés sur les marchés mondiaux.

The Implications of Transmission and Information Lags for the Stabilization Bias and Optimal Delegation

Document de travail du personnel 2004-37 Jean-Paul Lam, Florian Pelgrin
À l'aide d'un nouveau modèle keynésien hybride, Jensen (2002) et Walsh (2003) montrent, dans deux études récentes, qu'un régime prenant pour cible soit le taux de croissance du revenu nominal soit la variation de l'écart de production permet de reproduire la solution obtenue avec une règle d'engagement et de réduire ainsi le biais de stabilisation.

Optimal Taylor Rules in an Estimated Model of a Small Open Economy

Document de travail du personnel 2004-36 Steve Ambler, Ali Dib, Nooman Rebei
Les auteurs se servent d'un modèle dynamique d'équilibre général décrivant une petite économie ouverte pour calculer les coefficients de la règle de Taylor qui maximisent le bien-être.

A Simple Test of Simple Rules: Can They Improve How Monetary Policy is Implemented with Inflation Targets?

Document de travail du personnel 2003-31 Nicholas Rowe, David Tulk
Les auteurs évaluent si un assortiment de règles simples pourrait aider la Banque du Canada à mettre en oeuvre plus efficacement sa politique monétaire, axée sur la poursuite d'une cible d'inflation. Ils se concentrent sur la corrélation entre les écarts de l'inflation par rapport à sa cible et les écarts retardés des taux directeurs recommandés (c'est-à-dire obtenus à partir des règles) par rapport aux taux pratiqués.
22 mai 2003

Cibles d'inflation et planification à moyen terme : quelques règles empiriques simples

La poursuite de cibles d'inflation, un contexte macroéconomique stable et un taux de croissance moyen de la production potentielle peu susceptible de varier de façon importante dans les quelques années à venir sont autant de facteurs qui aident les ménages, les entreprises et les administrations publiques à dresser leurs plans économiques et financiers à moyen terme. Plusieurs règles empiriques simples peuvent servir à faciliter cette planification. En particulier, le régime de cibles d'inflation a permis de maintenir, en moyenne sur plusieurs années, la plupart des principales mesures de l'inflation très près du point médian de la fourchette cible. Ce régime, combiné à un cadre budgétaire bien défini, a favorisé la création d'un contexte macroéconomique plus stable, dans lequel la production fluctue moins autour de son niveau potentiel. Le taux d'accroissement de la production potentielle devrait s'établir en moyenne à 3 % environ au cours des prochaines années. Compte tenu de ces facteurs et des relations observées par le passé, il est probable que le revenu du travail, les profits et les dépenses de consommation progresseront en moyenne de quelque 5 % à moyen terme. Les taux d'intérêt réels et nominaux à long terme devraient continuer d'être stables, les rendements réels à 30 ans, osciller vraisemblablement autour de 3,5 ou 4,0 %, et les rendements nominaux, se tenir aux alentours de 5,5 ou 6,0 %.

How to Improve Inflation Targeting at the Bank of Canada

Document de travail du personnel 2002-23 Nicholas Rowe
Cette étude montre que si la Banque du Canada règle de façon optimale son instrument d'intervention à la lumière des indicateurs de l'inflation, afin de viser un taux d'accroissement des prix de 2 % à un horizon de deux ans, les écarts de l'inflation par rapport à cette cible représentent dans ce cas les erreurs de prévision de la Banque et ne devraient pas être corrélés avec les informations à la disposition de celle-ci, y compris les valeurs de l'instrument et des indicateurs retardées de deux ans.
21 mai 2002

Inflation et macroéconomie : changements survenus entre les années 1980 et 1990

Le niveau de l'inflation au Canada a été nettement plus bas au cours des dix dernières années que durant les deux décennies précédentes. Parallèlement, le comportement de l'inflation s'est profondément transformé. À partir des données et des travaux existants, l'auteur examine d'abord les changements que la variabilité, les taux de croissance et les autres propriétés de certaines variables macroéconomiques importantes ont connus durant les années 1980 et 1990. Il se penche ensuite sur la mesure dans laquelle ces changements sont liés à la réorientation de la politique monétaire pendant cette période. Enfin, il passe en revue les avantages économiques que le Canada a tirés de ces changements.
18 novembre 2001

Une nouvelle mesure de l'inflation fondamentale

La Banque du Canada a défini sa fourchette cible de maîtrise de l'inflation en fonction du taux d'accroissement de l'IPC (indice des prix à la consommation) global, mais elle a recours à un indice qui mesure l'inflation tendancielle ou fondamentale pour la guider, à court terme, dans la conduite de la politique monétaire. Lorsque la cible d'inflation a été reconduite en mai 2001, la Banque du Canada a annoncé qu'elle adoptait une nouvelle mesure de l'inflation fondamentale. Cette mesure exclut les huit composantes les plus volatiles de l'IPC ainsi que l'effet des modifications des impôts indirects sur les autres composantes. L'auteur se penche sur la définition de la nouvelle mesure de l'inflation fondamentale et décrit certains de ses avantages par rapport à l'ancienne. Il souligne que la nouvelle mesure a un fondement statistique plus solide, est plus conforme à la théorie économique et permet de mieux prévoir l'évolution de l'inflation dans son ensemble. Malgré tout, la Banque continuera de suivre l'évolution d'une vaste gamme d'indicateurs au moment d'évaluer la trajectoire probable de l'inflation.
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