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L'auteur propose un modèle qui formalise le comportement conjoint des taux d'intérêt et des taux de change en l'absence de possibilités d'arbitrage.

Les auteurs proposent un modèle qui permet de prévoir la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel pour le trimestre en cours à partir d'indicateurs mensuels relatifs à une partie ou à la totalité du trimestre concerné.

Les auteurs cherchent à savoir si des mesures simples des déséquilibres des prix des actions et de l'immobilier au Canada peuvent renseigner sur l'évolution future de l'inflation et de la croissance de la production.

La relation empirique qui lie le taux de croissance moyen et la volatilité des taux de croissance, aussi bien dans le temps que dans nombre de pays, a, sur le plan des politiques, des implications importantes, essentiellement déterminées par le signe de cette relation.

Les auteurs caractérisent l'équilibre dans le cadre d'un modèle dynamique de Heckscher-Ohlin avec incertitude.

Les auteurs élaborent pour la zone euro et le Royaume-Uni un modèle de projection où chacune de ces deux économies est intégrée à l'autre de façon endogène par le biais de la demande extérieure.

Les auteurs étudient les caractéristiques des activités de prêteur du Fonds monétaire international (FMI) des années 1960 à 2005.

L'auteur examine un rapport d'arbitrage fondamental qui existe entre retard de règlement et liquidités intrajournalières dans les opérations quotidiennes traitées par les systèmes de transfert de gros paiements, notamment dans le cadre du Système de transfert de paiements de grande valeur (STPGV).

Les changements institutionnels et la libéralisation des échanges sont généralement considérés comme deux grandes sources de la croissance du revenu par habitant dans le monde.

De 1870 à 2000, la durée hebdomadaire de travail a diminué de 41 % dans les pays industrialisés.