Rechercher

Types de contenu

Sujets

Codes JEL

Endroits

Départements

Auteurs

Sources

États

Publié après

Publié avant

9293 résultats

Reconsidering Cointegration in International Finance: Three Case Studies of Size Distortion in Finite Samples

Document de travail du personnel 1997-1 Marie-Josée Godbout, Simon van Norden
Les auteurs de l'étude se penchent sur les résultats controversés obtenus récemment par certains chercheurs au sujet du comportement des taux de change. Ils essaient notamment d'établir la présence de problèmes d'estimation tenant à la taille limitée de l'échantillon et montrent comment ces problèmes influencent les conclusions des études récentes.
14 décembre 1996

L'incidence des fluctuations du taux de change sur les prix à la consommation

Dans le premier volet, plutôt théorique, l'auteure analyse les facteurs qui influencent le mécanisme par lequel les variations du taux de change se transmettent aux prix à la consommation. Dans le second, elle examine l'expérience canadienne récente en la matière à partir de 1992. Plus précisément, elle utilise l'analyse de la première partie pour expliquer pourquoi la dépréciation de près de 20 % du dollar canadien entre 1992 et 1994 ne s'est pas traduite par une hausse du taux d'inflation aussi forte qu'on l'aurait prévu à la lumière des estimations traditionnelles de l'incidence des variations du taux de change sur les prix. L'auteure explique ce phénomène d'abord par les facteurs énumérés dans le volet théorique, à savoir la conjoncture de la demande, les coûts d'ajustement des prix et la perception de la durée de la dépréciation, et ensuite, par des facteurs plus particuliers tels que l'abolition des droits de douane entre le Canada et les États-Unis et la restructuration du marché de la vente au détail. Ces derniers éléments ont sans doute contribué à neutraliser l'effet de la dépréciation du dollar sur les prix.
13 décembre 1996

Structure des échéances des avoirs et engagements financiers des ménages

Le texte vise à évaluer la structure des échéances du bilan des ménages et le degré de flexibilité des taux des emprunts et des avoirs financiers des particuliers. Les contrats à taux fixes pour les moyen et long termes constituent la majeure partie des avoirs productifs d'intérêts et des engagements financiers des ménages. Le profil de consommation des particuliers est donc plus influencé par les effets de richesse des variations des taux d'intérêt que par les effets de revenu, et une modification durable des taux d'intérêt ne produira pleinement ses effets sur la consommation qu'après un certain temps.
12 décembre 1996

Le marché canadien des obligations coupon zéro

Une obligation classique est un titre de dette assorti d'un certain nombre de coupons d'intérêt payables périodiquement et d'un montant en principal remboursable à l'échéance. Comme l'indique son nom, l'obligation coupon zéro ne comporte pas de coupons d'intérêt périodiques; elle est remboursable in fine. L'obligation coupon zéro est vendue à un prix inférieur à sa valeur nominale et remboursée à sa valeur nominale à l'échéance. Le rendement obtenu est équivalent à la différence entre la valeur nominale de l'obligation et son coût d'acquisition, qui est inférieur à cette valeur. Dans cet article, l'auteur examine les caractéristiques, à titre d'instrument de placement, de l'obligation coupon zéro. L'auteur s'intéresse en particulier à un type d'obligation coupon zéro, l'obligation coupons détachés, que les courtiers en valeurs mobilières créent en séparant des obligations classiques les coupons d'intérêt. Le marché des obligations coupons détachés s'est considérablement développé au Canada depuis les années 80 et il constitue maintenant un compartiment à part entière du marché canadien des titres à revenu fixe. Son dynamisme accroît la liquidité et l'efficience du marché des valeurs à revenu fixe, ce qui contribue à réduire le coût global du financement pour le gouvernement.
11 novembre 1996

La croissance de la productivité dans le secteur des services commerciaux

Pendant plus de trois décennies, le taux de croissance de la productivité dans le secteur des services commerciaux a continuellement été inférieur à celui du secteur des biens. Dans le même temps, le secteur des services a fortement augmenté sa contribution à l'augmentation de la production et de l'emploi. D'après certains observateurs, cette tendance amènera un ralentissement de la croissance de la productivité à l'échelle de l'économie. Dans cet article, l'auteure passe en revue l'évolution récente de la productivité dans le secteur des services ainsi que les principaux facteurs qui l'influencent. L'auteure conclut en affirmant que les services contribueront probablement à la croissance future de la productivité. La situation a été très contrastée dans ce secteur. La productivité est en baisse dans certaines branches, mais elle est stimulée dans d'autres par des facteurs tels que les progrès techniques, la déréglementation et l'intensification de la concurrence. De plus, une grande partie de l'accroissement de la production dans le secteur des services commerciaux est attribuable aux branches où la croissance de la productivité est relativement forte. Par ailleurs, il est possible que les problèmes de mesure de la production dans certaines branches du secteur des services donnent lieu à une sous-estimation de la croissance de la production et de la productivité. Dans la mesure où des services sont utilisés comme intrants intermédiaires dans la production de biens, la sous-estimation de la croissance de la productivité dans le secteur des services entraîne une surestimation proportionnelle de la croissance de la productivité dans le secteur des biens.
10 novembre 1996

Le marché des contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes

La Bourse de Montréal a lancé en 1988 le contrat à terme sur acceptations bancaires canadiennes à trois mois dénommé BAX. L'auteure explique dans cet article la nature de ce nouvel instrument financier, lequel se négocie sur le parquet de la Bourse de Montréal et est utilisé à des fins de couverture, de spéculation et d'arbitrage. Elle passe brièvement en revue les aspects techniques du marché et explique la différence entre les BAX et les accords de taux futurs. L'auteure fait en outre l'examen de la croissance rapide du marché des BAX et de l'incidence de celle-ci sur le marché des bons du Trésor.
9 novembre 1996

Le Canada et les institutions financières internationales

Les institutions financières internationales, comme le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et la Banque des Règlements Internationaux, jouent un rôle important dans le système financier mondial. Cet article fait un survol des principales institutions financières internationales dont fait partie le Canada. Les auteurs de l'article décrivent les activités de ces institutions ainsi que la nature de la participation du Canada, notamment celle de la Banque du Canada, à leur fonctionnement. De plus, ils traitent des mesures récentes prises à la suite des Sommets de Halifax et de Lyon en vue d'améliorer l'efficacité des activités des institutions financières internationales.
8 novembre 1996

Résumé d'un colloque sur les marchés monétaires et les opérations de la banque centrale

L'auteur fait le résumé d'un colloque organisé par la Banque du Canada en novembre 1995. Les participants au colloque se sont penchés sur l'interaction entre les mesures de politique monétaire et le marché monétaire. La Banque a en outre saisi cette occasion pour évoluer les opérations qu'elle effectue actuellement avant que l'implantation d'un Système de transfert de paiements de grande valeur ne l'amène à modifier la façon dont elle met en oeuvre sa politique monétaire au jour le jour. Les études préparées par les conférenciers de l'extérieur ont permis à la Banque de mieux comprendre les innovations qui ont apparu sur les marchés monétaires ces derniers temps et les conséquences qu'elles ont pour la conduite de la politique monétaire. Les séances de travail consacrées aux opérations de la Banque sur les marchés financiers visaient à mieux faire connaître aux opérateurs et aux universitaires la façon dont celle-ci intervient sur ces marchés.
Aller à la page