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An Empirical Analysis of Liquidity and Order Flow in the Brokered Interdealer Market for Government of Canada Bonds

Document de travail du personnel 2003-28 Chris D'Souza, Charles Gaa, Jing Yang
Les auteurs mesurent empiriquement la liquidité du marché obligataire canadien au moyen d'un certain nombre d'indicateurs proposés dans la littérature et rendent compte, pour la première fois, de la dynamique des prix et des transactions sur le marché secondaire des obligations du gouvernement du Canada. Ils constatent, à l'instar d'Inoue (1999), que le marché canadien des opérations sur titres à revenu fixe conclues par l'entremise de courtiers intermédiaires est relativement liquide pour sa taille.

Oil-Price Shocks and Retail Energy Prices in Canada

Document de travail du personnel 2002-38 Marwan Chacra
L'auteur examine les effets des variations des prix mondiaux des hydrocarbures sur les prix à la consommation de l'énergie au Canada.

How Do Canadian Banks That Deal in Foreign Exchange Hedge Their Exposure to Risk?

Document de travail du personnel 2002-34 Chris D'Souza
L'auteur examine les opérations journalières de couverture et les pratiques de gestion du risque des intermédiaires financiers sur le marché des changes canadien.

Nominal Rigidity, Desired Markup Variations, and Real Exchange Rate Persistence

Document de travail du personnel 2002-26 Hafedh Bouakez
Dans cette étude, l'auteur développe et estime un modèle d'équilibre général à prix rigides, qui explique la persistance du taux de change réel.

Risk, Entropy, and the Transformation of Distributions

Document de travail du personnel 2002-11 Mark Reesor, Don McLeish
La famille exponentielle, le principe du minimum d'entropie relative et les fonctions de distorsion sont des méthodes de transformation des lois de probabilité.

The Microstructure of Multiple-Dealer Equity and Government Securities Markets: How They Differ

Document de travail du personnel 2002-9 Toni Gravelle
Bien que les marchés de contrepartie relatifs aux actions et aux titres d'État aient en apparence des structures analogues, l'auteur démontre qu'il existe entre eux de subtiles différences, qui sont susceptibles d'influer de façon importante sur la façon dont les teneurs de marché opèrent et donc sur le degré de liquidité du marché.
16 novembre 2000

Les produits dérivés de crédit

Les produits dérivés de crédit constituent un instrument utile pour les prêteurs qui veulent réduire leur exposition au risque à l'endroit d'un emprunteur particulier, mais qui ne sont pas disposés à se départir de leur créance. Cet instrument permet de transférer le risque à une contrepartie, sans véritablement céder la propriété de l'actif sous-jacent. Principaux acteurs de ce marché en plein essor, les banques commerciales ont recours à ces produits pour diversifier leurs portefeuilles de prêts et leurs autres actifs à risque. Les auteurs examinent la taille et le fonctionnement de ce marché relativement nouveau et se demandent si les produits dérivés de crédit ne risquent pas de fausser les incitatifs au suivi et à la gestion des risques.
14 août 2000

Analyse des niveaux actuels des cours en bourse

L'ascension des bourses nord-américaines en 1999 et au début de 2000 a amené les observateurs à s'interroger sur les hypothèses susceptibles de justifier le maintien de niveaux aussi élevés des cours. Dans cet article, les techniques usuelles d'évaluation des cours sont appliquées aux marchés boursiers du Canada et des États-Unis. Dans la méthode des taux de rendement comparatifs, les taux d'intérêt réels (plutôt que nominaux) sont considérés comme de meilleurs points de comparaison pour étudier le rendement lié aux indices boursiers. De façon générale, les écarts entre les taux d'intérêt réels et les rendements boursiers se sont creusés au cours des deux dernières années. Le modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes à recevoir permet de rattacher la prime de risque sur les actions à la croissance anticipée des dividendes. Il donne à penser que, pour que les cours en bourse (mesurés à la fin de février 2000) se maintiennent à leurs niveaux élevés, il faudrait que les dividendes croissent rapidement ou que les primes de risque sur les actions demeurent anormalement faibles. L'auteur note la hausse fulgurante des cours dans le compartiment des valeurs technologiques pendant l'année 1999 (Graphique4). Il analyse ensuite les valorisations boursières une fois ce compartiment exclu du marché canadien. Lorsqu'il utilise pour cela la méthode des taux de rendement comparatifs, les écarts de rendement obtenus sont un peu moins élevés; quand il a recours au modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes, il n'est pas nécessaire de postuler une croissance future des dividendes aussi rapide ni une prime de risque aussi faible pour justifier le niveau des cours actuels. L'article met en lumière deux effets de la « nouvelle économie » sur les marchés boursiers. Le premier est le fléchissement du ratio dividendes/cours, du fait que les sociétés de haute technologie réinvestissent en général le gros de leurs bénéfices et versent peu de dividendes. Le second a trait à la possibilité d'un relèvement du taux d'accroissement de la productivité, qui accréditerait l'hypothèse d'une croissance des bénéfices supérieure à la progression observée dans le passé. Plusieurs hypothèses sont formulées pour expliquer la diminution des primes de risque sur les actions. Alors que la volatilité à court terme a incontestablement augmenté sur le marché boursier ces dernières années, il se peut que le bas taux d'inflation et la meilleure tenue de l'économie, combinés à l'évolution démographique et aux préférences des investisseurs, aient contribué à faire baisser la prime de risque exigée par ces derniers. Un scénario fondé sur une progression rapide des dividendes à moyen terme puis un retour à plus long terme aux taux de croissance observés antérieurement permet d'expliquer dans une certaine mesure les cours élevés observés actuellement, mais il présuppose des hypothèses qui rompent avec l'évolution passée.

Modelling Risk Premiums in Equity and Foreign Exchange Markets

Document de travail du personnel 2000-9 René Garcia, Maral Kichian
On attribue généralement la prévisibilité observée des excédents de rendement sur les marchés des actions et des changes à la présence de primes de risque variables sur ces marchés. Ainsi il s'est avéré possible d'expliquer les excédents de rendement sur les portefeuilles d'actions au moyen de diverses variables financières et économiques.
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