Rechercher

Types de contenu

Sujets

Codes JEL

Endroits

Départements

Auteurs

Sources

États

Publié après

Publié avant

29 résultats

Projection de la croissance de la productivité totale des facteurs au Canada : une approche sectorielle

Note analytique du personnel 2024-12 Dany Brouillette, Tessa Devakos, Raven Wheesk
Nous proposons un outil qui décompose la croissance de la PTF en contributions sectorielles. L’analyse intègre trois facteurs structurels – la numérisation, le vieillissement de la population et les politiques climatiques – et mesure leur impact respectif. Dans l’ensemble, nous nous attendons à ce que la croissance globale de la PTF ralentisse dans les années 2020 et soit inférieure à la moyenne historique ainsi qu’à la moyenne des années 2010.

Regulation, Emissions and Productivity: Evidence from China’s Eleventh Five-Year Plan

Document de travail du personnel 2024-7 Brantly Callaway, Tong Li, Joel Rodrigue, Yuya Sasaki, Yong Tan
Dans cette étude, nous nous penchons sur le 11e plan quinquennal de la Chine et sa capacité à parvenir à un meilleur compromis entre la production et les émissions industrielles. Selon notre modèle, une réglementation efficace aurait permis de relever encore davantage la productivité et la production globales, soit de 3,5 % et de 4,7 % respectivement, sans faire augmenter les émissions globales.

Contribution of Human Capital Accumulation to Canadian Economic Growth

Document d’analyse du personnel 2022-7 Audra Bowlus, Youngmin Park, Chris Robinson
Dans cette étude, nous quantifions la contribution de l’accumulation du capital humain à la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel au Canada.

Firm-level Investment Under Imperfect Capital Markets in Ukraine

Document de travail du personnel 2019-14 Oleksandr Shcherbakov
Dans cette étude, je mets au point et estime un modèle d’investissement en capital fixe par des entreprises faisant face à des contraintes d’emprunt.

The Productivity Slowdown in Canada: An ICT Phenomenon?

Document de travail du personnel 2019-2 Jeffrey Mollins, Pierre St-Amant
Nous cherchons à déterminer si une baisse de la contribution des technologies de l’information et des communications (TIC) à la croissance de la productivité pourrait expliquer le ralentissement de la productivité observé au Canada depuis le début des années 2000. À cette fin, nous examinons plusieurs méthodes visant à cerner les canaux par lesquels les TIC pourraient avoir une incidence sur l’accroissement de la productivité globale.
Type(s) de contenu : Travaux de recherche du personnel, Documents de travail du personnel Sujet(s) : Productivité Code(s) JEL : D, D2, D24, O, O4, O41, O47

Does Outward Foreign Investment Matter for Canadian Productivity? Evidence from Greenfield Investments

Document de travail du personnel 2018-31 Naveen Rai, Lena Suchanek, Maria Bernier
Dans cette étude, nous cherchons à comprendre comment les investissements directs étrangers sortants influent sur la productivité des entreprises canadiennes. Nous estimons les effets d’investissements directs étrangers de création sur certaines mesures de la productivité des entreprises, à l’aide de données sur plus de 4 000 projets d’investissement de ce type réalisés par quelque 2 000 sociétés canadiennes de 2003 à 2014.

Firm Dynamics and Multifactor Productivity: An Empirical Exploration

Document de travail du personnel 2018-15 Pierre St-Amant, David Tessier
Certaines indications donnent à penser que le dynamisme des entreprises a diminué dans les économies avancées. En particulier, les taux d’entrée et de sortie d’entreprises ont chuté, ce qui semble indiquer que le processus de destruction créatrice a perdu de sa vigueur. Parallèlement, la croissance de la productivité a ralenti. Certains croient que la baisse des taux d’entrée et de sortie explique en partie la décélération de la croissance de la productivité.
16 novembre 2017

L’acceptation et l’utilisation des modes de paiement dans les points de vente au Canada

Tous les commerçants acceptent l’argent comptant. Les consommateurs en gardent communément sur eux, mais ont aussi des cartes de débit et de crédit dans leur portefeuille. Les coûts d’utilisation d’un mode de paiement n’ont qu’une faible influence sur le choix des consommateurs au point de vente. L’acheteur peut choisir n’importe quel mode de paiement dans les grands établissements commerciaux, mais seuls les deux tiers des commerçants de petite ou moyenne taille acceptent les cartes de crédit. Entre les cartes de crédit, les cartes de débit et l’argent comptant, ce sont les premières qui représentent le mode de paiement le plus coûteux pour les commerçants. Toutefois, les coûts ne sont pas les seuls éléments à prendre en compte. L’acceptation de la carte de crédit chez les commerçants explique le grand nombre d’utilisateurs de ce mode de paiement. On qualifie d’externalités de réseau cette interaction entre consommateurs et commerçants.

11 mai 2017

L’économie numérique

Les technologies numériques – infonuagique, Internet des objets, robotique de pointe, analyse de mégadonnées, intelligence artificielle et apprentissage automatique, médias sociaux, impression 3D, réalité augmentée, réalité virtuelle, monnaie électronique et grand livre partagé – transforment le fonctionnement des entreprises. Comment cette transformation se compare-t-elle aux révolutions industrielles passées? Comment les technologies numériques changent-elles les systèmes de production dans les différents secteurs? Les entreprises capables de s’adapter, faisant grand usage des connaissances et disposant d’un capital organisationnel et d’un capital humain élevés semblent prêtes à tirer le meilleur parti de la numérisation de l’économie, mais quelles seront ses répercussions sur la productivité, les marchés du travail, l’inflation et la politique monétaire?
11 mai 2017

Comment expliquer l’atonie de l’investissement des entreprises à l’échelle mondiale? Éléments de réponse tirés des économies avancées

Plusieurs facteurs qui influencent les investissements des entreprises peuvent offrir une explication à l’atonie de l’investissement observée dans les économies avancées depuis la crise financière mondiale, et plus particulièrement depuis 2014. La lenteur du rythme de croissance de la demande globale ne peut rendre entièrement compte de la faiblesse récente des dépenses d’investissement, qui apparaît essentiellement liée à l’effondrement des prix internationaux des matières premières et à la montée de l’incertitude économique. À terme, le taux de progression des investissements des entreprises demeurera vraisemblablement inférieur à ce qu’il était avant la crise, pour une bonne part à cause de facteurs structurels comme le vieillissement démographique.
Aller à la page