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Exponentials, Polynomials, and Fourier Series: More Yield Curve Modelling at the Bank of Canada

Document de travail du personnel 2002-29 David Bolder, Scott Gusba
Le présent document fait suite à l'étude de Bolder et Stréliski (1999) et examine deux classes de modèles différents dans le but de déterminer le taux des obligations à coupon zéro et les taux d'intérêt à terme à partir des cours observés des obligations et des bons du Trésor du gouvernement canadien.

Stability and Efficiency in Decentralized Two‐Sided Markets with Weak Preferences

Document de travail du personnel 2017-4 Radoslav Raykov
Beaucoup de marchés décentralisés peuvent atteindre un état stable malgré l’absence d’autorité centrale (Roth et Vande Vate, 1990). Un jumelage stable, toutefois, n’a pas besoin d’être efficient si les préférences sont peu marquées. On peut dès lors se demander si un marché décentralisé caractérisé par des préférences peu marquées peut atteindre une efficience parétienne en l’absence d’un planificateur.

Monetary Policy and Government Debt Dynamics Without Commitment

Document de travail du personnel 2019-52 Dmitry Matveev
Je démontre que l’échéance des titres de dette publique influe sur la conduite optimale des politiques monétaire et budgétaire en période de réduction de la dette publique. À l’aide d’un modèle de type néokeynésien, j’étudie un jeu dynamique dans lequel il y a absence d’engagement des autorités monétaire et budgétaire, et dans lequel je caractérise les incitations qui déterminent le choix des taux d’intérêt.

What Does Structural Analysis of the External Finance Premium Say About Financial Frictions?

Document de travail du personnel 2019-38 Jelena Zivanovic
Je me sers d’un modèle vectoriel autorégressif structurel avec restrictions de signe dans le but de fournir des indications conditionnelles sur la dynamique de la prime de financement externe aux États-Unis. Les résultats montrent que la prime excédentaire sur les obligations, qui donne une approximation de la prime de financement externe, réagit de façon contracyclique aux chocs d’offre et de politique monétaire, et de façon procyclique aux chocs de demande.

Étendre l’utilisation de la mesure salaires-comm aux provinces canadiennes

Note analytique du personnel 2018-16 Jonathan Lachaine
Comme au niveau national, les sources de données disponibles sur les salaires horaires dans les provinces canadiennes envoient parfois des signaux contradictoires quant à leur croissance. La présente note comporte donc deux objectifs : d’abord, nous concevons une mesure commune des salaires provinciaux (salaires-comm), qui rend mieux compte des pressions sous-jacentes exercées sur les salaires et qui reflète la tendance pour l’ensemble des sources de données.

The Construction of Continuity-Adjusted Monetary Aggregate Components

Document de travail du personnel 2003-22 Jeannie Kottaras
Les changements que connaît le secteur financier génèrent de nouvelles données qui ne sont pas strictement comparables aux anciennes. Il convient donc de corriger celles-ci afin de réduire au minimum les problèmes de discontinuité engendrés.
14 novembre 2013

La prise de décision en matière de politique monétaire à la Banque du Canada

Le processus que suit la Banque du Canada pour prendre ses décisions en matière de politique monétaire a évolué au fil du temps. Ce processus exige beaucoup d’information et de collaboration, car il repose sur l’expertise, le jugement et l’analyse de nombreuses personnes. Cet article décrit le processus en vigueur à la Banque et corrige certaines erreurs répandues à son sujet, de même que des idées reçues concernant la politique monétaire.
16 décembre 1999

L'évolution économique et financière jusqu'au 16 février 2000 : une mise à jour de l'analyse présentée dans le Rapport sur la politique monétaire

Faits saillants * Le rythme de l'activité économique aux États-Unis reste vigoureux et dépasse les projections antérieures. * La demande extérieure étant plus vigoureuse que prévu, la Banque s'attend maintenant à ce que la croissance du PIB réel au Canada en l'an 2000 se situe dans la moitié supérieure de la plage de 2,75 % à 3,75 % projetée dans le Rapport sur la politique monétaire de novembre dernier. * L'inflation mesurée par l'indice de référence a été inférieure aux prévisions en novembre, en partie à cause des rabais pratiqués sur certains biens semi-durables. * La Banque s'attend à ce que l'inflation mesurée par l'indice de référence s'accélère pour atteindre 2 % au premier trimestre de l'an 2000. * En raison de la hausse des prix de l'énergie, le taux d'accroissement de l'IPC global devrait monter à près de 3 % au début de l'année. * L'évolution observée au cours des trois derniers mois vient confirmer les risques pesant sur les perspectives de l'économie canadienne qui ont été évoqués dans le dernier Rapport, à savoir une accélération de la croissance de la demande de produits canadiens au pays et à l'étranger et une recrudescence des pressions inflationnistes potentielles aux États-Unis. Les données recueillies depuis le 14 janvier, date de la mise à jour de l'analyse présentée dans le Rapport sur la politique monétaire de novembre dernier, continuent de laisser entrevoir un raffermissement des perspectives de l'économie mondiale et de l'activité au Canada. Aux États-Unis, l'expansion du PIB réel a encore dépassé les attentes — atteignant un taux annuel de 5,8 % au quatrième trimestre de 1999. Bien que des pressions s'exercent manifestement sur les prix et les coûts aux États-Unis, la forte croissance de la productivité a maintenu les coûts unitaires de main-d'oeuvre à un bas niveau. Toutefois, comme la demande s'est accrue à un rythme supérieur à celui de la capacité potentielle et qu'une telle situation présente des risques d'inflation, la Réserve fédérale a haussé le taux cible des fonds fédéraux de 25 points de base pour le porter à 5,75 % le 2 février. Même si la tendance de l'inflation reste faible dans les pays industriels, un certain nombre d'autres grandes banques centrales, s'inquiétant de l'apparition future de pressions inflationnistes compte tenu du renforcement de la demande, ont aussi haussé leurs taux directeurs au cours des deux dernières semaines. La vigueur de la demande étrangère, particulièrement de la demande américaine, continue de transparaître dans les plus récentes données sur notre balance commerciale. La croissance des exportations est restée forte en novembre, et le solde global a affiché un excédent important. Les cours mondiaux de nos principaux produits de base continuent aussi de se redresser sous l'effet du raffermissement de la demande globale. Au pays, les chiffres les plus récents au sujet de la demande et de la production témoignent d'une robustesse continue. Le PIB réel (au coût des facteurs) s'est accru de 0,6 % en novembre (4,6 % en glissement annuel), et l'emploi a maintenu sa forte progression en fin d'année et au début de janvier. D'autres indicateurs, y compris les dernières données sur les agrégats monétaires, confirment ce tableau économique favorable. La Banque prévoit à l'heure actuelle que la croissance du PIB en 2000 se situera près de la limite supérieure de la plage de 2,75 à 3,75 % projetée en novembre. Le taux d'accroissement de l'indice de référence que nous utilisons pour mesurer l'inflation a été de 1,6 % (en glissement annuel) en décembre, soit légèrement au-dessous des prévisions, en partie à cause des rabais temporaires pratiqués sur certains produits. Nous pensons encore que l'inflation mesurée par l'indice de référence montera pour s'établir au point médian de la fourchette cible de 1 à 3 % au premier trimestre de cette année. Parallèlement, le taux d'augmentation de l'IPC global grimpera probablement à près de 3 % en raison de l'escalade récente des prix de l'énergie, mais on continue de s'attendre à ce qu'il redescende dans le courant de l'année pour se rapprocher de celui de l'indice de référence, à mesure que les prix de l'énergie se modéreront. La Banque du Canada a relevé le taux officiel d'escompte de 25 points de base pour le porter à 5,25 % le 3 février. La Banque a pris sa décision en tenant compte notamment du dynamisme de la demande de produits canadiens tant au pays qu'à l'étranger, de l'importance de veiller à ce que l'économie s'approche de façon prudente des limites de sa capacité de production et du risque d'un déversement au Canada des pressions inflationnistes qui pourraient s'exercer aux États-Unis.
24 avril 2008

Rapport sur la politique monétaire – Avril 2008

Le rythme d’expansion de l’économie mondiale a commencé à décélérer au quatrième trimestre de 2007 et au premier trimestre de 2008, sous l’effet de la baisse de régime aux États-Unis et des bouleversements persistants sur les marchés financiers internationaux. La croissance de l’économie canadienne a aussi marqué le pas.  La vigueur de la demande intérieure […]
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