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18 janvier 2012

Rapport sur la politique monétaire – Janvier 2012

La Banque estime que le taux de croissance de l’économie canadienne s’est chiffré à 2,4 % en 2011 et projette qu’il s’établira à 2,0 % en 2012 et à 2,8 % en 2013. L’économie canadienne devrait retrouver son plein potentiel au troisième trimestre de 2013. L’inflation mesurée par l’IP C global devrait retourner à la cible de 2 % d’ici au troisième trimestre de 2013.
3 octobre 2017

À la recherche de gazelles au pays des ours polaires

Discours Sylvain Leduc Chambre de commerce de Sherbrooke Sherbrooke (Québec)
Le sous-gouverneur Sylvain Leduc traite du recul de la création d’entreprises et de la productivité au sein de l’économie canadienne.
13 novembre 2014

Les indications prospectives ne devraient‑elles pas être dépendantes du passé?

Aux prises avec la contrainte que leur impose la borne du zéro des taux d’intérêt, des banques centrales se sont attachées à expliquer leur décision de recourir à un seuil qui doit être franchi avant que les taux d’intérêt à court terme soient relevés. Comme le montrent les résultats de simulations réalisées pour le Canada, les indications prospectives qui sont subordonnées à l’atteinte d’un seuil de prix peuvent théoriquement favoriser la demande et hausser les attentes d’inflation bien davantage que des indications assorties d’un seuil de chômage. Cet atout s’explique par le fait que les seuils de prix sont influencés par les niveaux précédents de l’inflation. Dans la pratique, cependant, des seuils influencés par le passé seraient vraisemblablement plus difficiles à expliquer.
24 février 2015

Leçons d’hier et d’aujourd’hui : réinventer le rôle de la banque centrale

Discours Stephen S. Poloz Conférence du président, Université Western London (Ontario)
Le gouverneur Stephen S. Poloz traite de la nécessité d’intégrer à la maîtrise de l’inflation les préoccupations liées à la stabilité financière, pour la conduite de la politique monétaire à la suite de la crise financière.

Cashless Bank Branches in Canada

Note analytique du personnel 2019-29 Walter Engert, Ben Fung
Ces dernières années, les succursales bancaires sans argent comptant ou sans caissier se sont multipliées dans plusieurs pays. Aucun service au comptoir, comme le retrait et le dépôt d’espèces ou l’encaissement de chèques, n’est offert dans de telles succursales.
20 décembre 2002

Transparence et réaction des taux d'intérêt à la publication périodique des données macroéconomiques

Les avantages de la transparence — soit les résultats de l'ensemble des initiatives prises par la banque centrale pour permettre aux marchés financiers et aux agents économiques de comprendre les facteurs dont elle tient compte dans la formulation de sa politique monétaire — sont maintenant largement reconnus. Parmi ces avantages, on peut mentionner une mise en oeuvre plus harmonieuse de la politique monétaire et une efficacité accrue de cette dernière, à mesure que se développe l'aptitude des marchés à prévoir les décisions stratégiques de la Banque du Canada et à en tenir compte dans leurs opérations. La manière dont les taux d'intérêt réagissent à la publication des données macroéconomiques dépend du degré de transparence de la politique monétaire, les taux variant au gré des attentes des marchés. Avant les initiatives prises par la Banque pour améliorer la transparence — notamment l'adoption de cibles de maîtrise de l'inflation, la publication, deux fois l'an, du Rapport sur la politique monétaire et de ses mises à jour et la pratique des annonces à dates préétablies —, les modifications du taux du financement à un jour engendraient une certaine volatilité des taux d'intérêt, et la publication des données macroéconomiques canadiennes ne semblait pas influer beaucoup sur ces derniers. L'auteur montre que les efforts déployés par la Banque en faveur de la transparence ont eu pour effet d'accroître l'incidence de la publication de ces données sur les taux à court terme et d'améliorer la compréhension que les marchés financiers ont du processus de décision de la banque centrale.

Measuring and Evaluating Strategic Communications at the Bank of Canada

Document d’analyse du personnel 2021-9 Annie Portelance
Le département des Communications de la Banque du Canada a élaboré un cadre pour quantifier et qualifier les activités de communication de la Banque et leurs résultats. En recourant à la mesure et à l’évaluation de données, le département peut estimer l’incidence des communications de la Banque et la contribution du département à l’atteinte de l’ensemble des objectifs de l’institution.
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