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529 résultats

16 août 2012

Revue de la Banque du Canada - Été 2012

Cette livraison renferme trois articles où sont décrites les recherches et les analyses du personnel de la Banque du Canada. Le premier actualise les estimations de la Banque quant au biais de mesure entachant l’indice des prix à la consommation canadien. Le second étudie la relation entre le taux directeur à court terme et les taux d’intérêt à long terme à l’aide d’un nouveau modèle de la structure par terme des taux d’intérêt. Le troisième examine les indicateurs de risque de bilan au sein des institutions financières canadiennes.

Intégrer l’incertitude dans l’élaboration de la politique monétaire - La perspective d’un praticien

Document d’analyse du personnel 2014-6 Stephen S. Poloz
Le présent article examine l’évolution que connaissent les banques centrales à la lumière de l’expérience récente et met l’accent sur l’intégration de l’incertitude dans le processus d’élaboration de la politique monétaire.

Poignée de main invisible et persistance des cycles économiques : une revue de la littérature

Document de travail du personnel 2003-40 Christian Calmès
L'objet de ce survol est de mettre en évidence les implications des rigidités des salaires (et des revenus d'emploi) liées au partage du risque, pour la reproduction de certains faits stylisés concernant la persistance des cycles économiques. Il s'agit de montrer les effets potentiels du partage du risque entre entreprises et employés sur la dynamique de l'emploi et de la consommation et donc de la production, dynamique que les modèles macro-économiques traditionnels ont parfois du mal à reproduire.
15 août 2001

L'analyse des agrégats monétaires

Ces dernières années, la Banque du Canada a mis davantage l'accent sur l'analyse des variables monétaires et l'élaboration de modèles dans lesquels la monnaie est considérée comme une partie intégrante du mécanisme de transmission. Dans cet article, Dinah Maclean explique de quelles façons la Banque utilise les agrégats monétaires dans l'analyse de la politique monétaire et donne un aperçu des principaux outils et modèles dont se sert l'institution. Le modèle monétaire auquel la Banque a le plus recours actuellement est le modèle vectoriel à correction d'erreurs basé sur M1. Dans ce modèle, les écarts entre l'offre de monnaie et la demande de monnaie à long terme influent sur l'inflation. L'auteure décrit brièvement le paradigme assignant un rôle actif à la monnaie, qui sous-tend ce modèle, et explique les équations clés qui composent ce dernier. Elle esquisse également d'autres modèles empiriques plus simples, notamment des modèles indicateurs à équation unique pour la production basés sur des agrégats monétaires étroits, un modèle neuronal et un modèle fondé sur l'agrégat au sens large M2++. Une annexe fournit des renseignements techniques détaillés sur les équations des différents modèles et les valeurs des coefficients estimés.
8 novembre 2016

Du bois jusqu’au Web : évolution passée et perspectives d’avenir des exportations canadiennes

Discours Lawrence L. Schembri Atlantic Institute for Market Studies Halifax (Nouvelle-Écosse)
Le sous-gouverneur Lawrence Schembri traite de l’évolution passée et des perspectives d’avenir des exportations canadiennes.
10 mars 2010

Revue de la Banque du Canada - Printemps 2010

Printemps 2010
L’on examine trois façons dont les prix à terme du pétrole brut peuvent enrichir notre compréhension de la conjoncture et des perspectives de ce marché mondial; anticipations d’inflation et conduite de la politique monétaire : tour d’horizon des données et de l’expérience récentes; examen de l’influence de différentes sources d’incertitude économique sur l’efficacité de différentes catégories de règles de politique monétaire; l’on explique de quelle manière, dans quelles circonstances et pour quels motifs des révisions sont opérées sur de nombreuses variables importantes de l’économie.
13 novembre 2014

Assouplissement quantitatif et effets de débordement sur les marchés émergents

Les programmes d’assouplissement quantitatif mis en œuvre aux États-Unis pourraient avoir fait grossir les flux de capitaux destinés aux économies émergentes et avoir exercé des pressions à la hausse sur le prix des actifs et les taux de change, mais l’écart entre les variables fondamentales des économies avancées et des économies émergentes a également été un facteur important. Des indices portent à croire que les retombées positives de l’assouplissement quantitatif sur les économies émergentes, en l’occurrence le raffermissement de la demande mondiale et l’amélioration de la confiance, semblent l’emporter sur les coûts. Lorsque les économies avancées entreprendront de normaliser leur politique monétaire, la meilleure ligne de défense des pays émergents pour se prémunir contre toute instabilité potentielle consistera sans doute à renforcer leurs propres cadres macroéconomiques et financiers.
21 novembre 2002

Le Canada est-il « dollarisé »?

La forte dépréciation du dollar canadien et le lancement réussi de l'euro ont déclenché un vif débat au Canada sur les avantages possibles de l'adoption du dollar américain comme monnaie officielle. Certains observateurs soutiennent que ce débat est vain, puisque notre économie serait déjà fortement « dollarisée ». Selon eux, les entreprises et les ménages canadiens préfèrent souvent utiliser le dollar américain plutôt que leur propre dollar pour les fonctions de monnaie courantes. Toutefois, très peu d'éléments de preuve ont été avancés à l'appui de ces affirmations. Au terme d'un examen des données disponibles, les auteurs tirent provisoirement certaines conclusions concernant le degré réel de dollarisation du Canada. Les faits passés en revue donnent à penser que les propos pessimistes au sujet de la disparition imminente du dollar canadien sont largement dénués de fondement. Le dollar canadien continue d'être la principale monnaie utilisée comme unité de compte, moyen d'échange et réserve de valeur au pays. Rien ne permet de croire non plus qu'il pourrait être supplanté à ce titre par le dollar américain dans un avenir prévisible. En effet, à bien des égards, l'économie canadienne est moins dollarisée actuellement qu'il y a 20 ans.
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