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18 juin 2005

Les dernières tendances en matière de placement et de gestion du risque dans le secteur canadien des régimes de retraite à prestations déterminées

Les régimes de retraite à prestations déterminées englobent la majeure partie des actifs détenus dans les régimes de pension d'employeur. Depuis quelques années, un certain nombre de régimes à prestations déterminées sont sous-capitalisés, ce qui tranche nettement avec la situation des années 1990, où une grande partie d'entre eux affichaient d'importants excédents actuariels. La détérioration de la santé financière des régimes à prestations déterminées a mis en lumière les divers problèmes de structure à long terme qui pourraient rendre plus difficile encore pour les promoteurs la gestion du risque financier associé à de tels régimes. Tuer et Woodman examinent comment les déficits de capitalisation, l'importance grandissante accordée à la gestion du risque, le climat de faibles rendements et les nouvelles conceptions à l'égard des placements influent sur les décisions d'investissement des gestionnaires de caisses de retraite à prestations déterminées au Canada. Ils s'intéressent au mode de capitalisation de ces régimes et aux nouvelles conceptions de la prime de risque sur les actions, puis abordent la question de l'adoption de plus en plus courante de méthodes de placement axées sur le passif et des répercussions de ce changement sur les placements des caisses de retraite. Les auteurs se penchent également sur d'autres influences que subit le secteur des régimes de retraite, dont l'offre limitée d'obligations à long terme, l'élimination de la règle sur les biens étrangers et le mouvement en faveur de la comptabilisation à la valeur actuelle et d'une approche fondée sur des principes d'économie financière pour l'évaluation actuarielle des régimes, et ils donnent un aperçu des effets de ces facteurs sur les marchés financiers.
16 août 2012

Primes de risque mondiales et transmission de la politique monétaire

La relation entre les taux directeurs à court terme et les taux d’intérêt à long terme constitue un important canal de transmission de la politique monétaire. À l’aide d’un nouveau modèle de la structure par terme, les auteurs montrent qu’au fil du temps, les taux longs varient en fonction de deux éléments : d’une part, les anticipations des investisseurs quant au niveau futur des taux directeurs; de l’autre, une prime de risque liée à la structure par terme qui rémunère l’investisseur pour la détention d’un actif risqué. Cette prime de risque évolue de façon contracyclique et est largement déterminée par la conjoncture macroéconomique mondiale. Ainsi, les taux à long terme sont poussés à la hausse durant les récessions et à la baisse en période d’expansion. Ce phénomène important doit être pris en compte par les banques centrales lorsqu’elles utilisent les taux à court terme pour mettre en œuvre la politique monétaire.
20 novembre 2018

Le choix du meilleur cadre de conduite de la politique monétaire pour le Canada

Discours Carolyn A. Wilkins École de politiques publiques Max Bell, Université McGill Montréal (Québec)
La première sous-gouverneure, Carolyn A. Wilkins, traite des questions qui influent sur la définition des cadres de conduite de la politique monétaire et de la manière dont elles se sont complexifiées depuis la crise financière mondiale.

Une approche éclectique d'estimation du PIB potentiel pour le Royaume-Uni

Document de travail du personnel 2004-46 Charles St-Arnaud
Dans cette étude, l'auteur présente les principaux résultats de l'application d'une nouvelle méthode d'estimation du PIB potentiel britannique.
7 avril 2009

Incertitude du niveau des prix, cible de niveau des prix et contrats d'emprunt nominaux

De nombreuses banques centrales dans le monde ont adopté un régime de cibles d'inflation comme cadre de conduite de la politique monétaire. Néanmoins, on s'intéresse de plus en plus à un autre type de régime, ciblant plutôt le niveau général des prix.
19 novembre 2015

La prise en compte des prix des biens durables et des logements dans l’IPC : une évaluation empirique

Même si l’IPC est la mesure de l’inflation la plus couramment utilisée, il ne constitue pas un véritable indice du coût de la vie. Bien que la méthode officielle suivie pour prendre en considération les prix des biens durables et des logements dans l’IPC soit un bon compromis dans un contexte caractérisé par des taux d’inflation bas et stables, Sabourin et Duguay pensent qu’il serait utile d’envisager de traiter le logement et les biens durables de la même manière et de rendre l’IPC réel plus conforme à un indice du coût de la vie. On pourrait y parvenir en calculant, au moyen d’une méthode plus complète du coût d’utilisation, le coût imputé des services procurés par les biens durables ou le logement.
Type(s) de contenu : Publications, Articles de la Revue de la Banque du Canada Sujet(s) : Inflation et prix Code(s) JEL : E, E3, E31, E5, E52
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