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21 février 2013

Revue de la Banque du Canada - Hiver 2012-2013

Cette livraison renferme trois articles : le premier fait le point sur la coordination des politiques macroéconomiques à l’échelle internationale depuis la crise financière mondiale, le second analyse la reprise de l’économie américaine au sortir de la Grande Récession et le troisième est un résumé du colloque annuel tenu par la Banque en octobre 2012 sur l’intermédiation et les vulnérabilités financières.

L'endettement du Canada et ses effets sur les taux d'intérêt réels de long terme

Document de travail du personnel 1996-14 Jean-François Fillion
Cette étude examine les effets de l'endettement du Canada sur les taux d'intérêt réels de long terme au Canada à l'aide de la méthode des VECM (Vector Error Correction Model). Nos résultats montrent qu'il existe une forte relation de cointégration entre les taux d'intérêt réels pratiqués au Canada, les taux d'intérêt réels aux États-Unis, le ratio d'endettement public et le ratio d'endettement extérieur du Canada.
11 mai 2017

Revue de la Banque du Canada - Printemps 2017

Pour certains, la quatrième révolution industrielle est imminente à l’échelle de l’économie mondiale. Dans la présente livraison, des chercheurs de la Banque s’intéressent aux répercussions possibles de la numérisation de l’économie de même qu’aux questions suivantes : l’efficacité de certaines mesures de politique monétaire non traditionnelles dans une petite économie ouverte, l’utilisation des obligations du gouvernement du Canada tout au long de leur cycle de vie, ainsi que la façon dont les six grandes banques canadiennes choisissent leurs stratégies de financement et les raisons qui justifient ces choix. Le dernier article traite de la lente croissance de l’investissement des entreprises.
22 juin 2005

L'incidence des décisions inattendues de politique monétaire sur le marché des titres à revenu fixe

Afin de mieux comprendre les retombées des mesures de politique monétaire de la Banque du Canada sur les rendements des obligations et des bons du Trésor, Andreou évalue l'incidence des annonces au sujet du taux directeur sur les obligations à court et à long terme durant la période allant de 1996 à 2004. Pour faciliter l'analyse, les mesures en question sont décomposées en parts attendue et inattendue. L'auteur cherche aussi à déterminer si l'introduction du régime des dates d'annonce préétablies a eu une influence sur les résultats, y compris sur les perceptions du marché. La principale constatation est que les décisions inattendues de la Banque ont un effet significatif sur la portion à court terme de la courbe de rendement, mais cet effet décroît au fur et à mesure que l'échéance augmente. La deuxième constatation, soit que l'incidence d'une décision inattendue de la Banque sur les taux d'intérêt à long terme est moindre depuis l'adoption du régime des dates d'annonce préétablies, donne à penser que les objectifs à long terme de la politique monétaire menée par la Banque sont bien compris et qu'ils sont crédibles.
19 novembre 2015

Revue de la Banque du Canada - Automne 2015

Dans cette livraison, les chercheurs de la Banque s’intéressent à la reprise modérée qui a succédé à la crise financière de 2007-2009 et à ses causes possibles. Leurs analyses portent également sur la nouvelle enquête relative aux anticipations des ménages, sur la mesure des prix des biens durables et des logements dans l’IPC et sur les incidences des modifications réglementaires sur les cadres de conduite de la politique monétaire. Le dernier article concerne les améliorations apportées à la gestion des réserves de change du Canada.
23 mai 2003

La Banque du Canada : vers une plus grande transparence

Durant les années 1990, la Banque du Canada a apporté plusieurs modifications au cadre de conduite de la politique monétaire. Dans les décennies 1960 et 1970, les décisions relatives à cette dernière étaient prises dans un contexte d'opacité entourant aussi bien les moyens utilisés que les fins visées, ce qui tendait à soustraire la Banque à la critique et à son obligation de rendre des comptes. Depuis les années 1970, la Banque s'attache à faire preuve de plus d'ouverture et de transparence. Elle a ainsi délaissé ses nombreux outils d'intervention pour se concentrer sur un objectif unique et clairement défini : la maîtrise de l'inflation. Selon une enquête récente, la Banque du Canada se situe dans la moyenne des banques centrales sur le plan de la transparence, et le bilan de l'institution souffre de ce qu'elle ne publie ni les prévisions sur lesquelles elle fonde ses décisions de politique monétaire, ni les procès-verbaux des réunions de son organe décisionnel, ni les relevés des votes pris à ces réunions. Chant estime que les changements que la Banque a opérés ont été très profitables au public, mais qu'elle devrait continuer d'encourager les recherches sur les bienfaits d'un taux d'inflation bas et stable et de renseigner les autres décideurs et la population sur les résultats obtenus.
19 novembre 2002

Parité des pouvoirs d'achat : définition, mesure et interprétation

Les auteurs étudient le concept de la parité des pouvoirs d'achat (PPA) et ses implications pour la détermination de la valeur d'équilibre du taux de change du dollar canadien. La PPA a deux applications, d'abord en tant que théorie de la détermination du taux de change et ensuite comme outil de comparaison des niveaux de vie entre pays. Dans l'optique de la détermination du taux de change, la théorie de la parité des pouvoirs d'achat est surtout utile en ce qu'elle nous rappelle que la politique monétaire n'influe pas à long terme sur le taux de change réel, puisque celui-ci peut s'écarter de façon persistante de sa valeur fondée sur la PPA en réaction aux chocs réels. Pour comparer les niveaux de vie entre pays, on calcule les taux de change assurant la parité des pouvoirs d'achat en comparant les prix de paniers nationaux de consommation. Les taux ainsi établis servent à convertir le revenu par habitant dans divers pays en une monnaie commune. Ils sont utiles parce qu'ils permettent de compenser l'effet des différences entre les niveaux de prix nationaux et d'obtenir des mesures comparables du pouvoir d'achat, mais ils ne constituent pas une mesure fiable de la valeur d'équilibre du taux de change. Les auteurs concluent que l'écart actuel entre la valeur effective du dollar canadien et sa valeur selon la PPA ne signifie pas que celui-ci est sous-évalué; cet écart reflète plutôt l'incidence de facteurs réels persistants, en particulier la baisse des cours des produits de base.
18 novembre 2010

Revue de la Banque du Canada - Automne 2010

Revue BdC - Automne 2010
Les auteurs réexaminent d’un oeil critique l’hypothèse voulant que le degré de transmission des variations du taux de change aux prix ait régressé; l’intensité de l’effet de rétroaction négatif entre l’évolution du secteur financier et l’économie réelle survenu pendant la récente crise mondiale est analysée; comparaison des tendances changeantes observées au Canada en matière d’émission de titres avec celles d’autres marchés de capitaux.
18 août 2011

Revue de la Banque du Canada - Été 2011

Ce dossier spécial sur les liens existant entre l’économie réelle et la sphère financière décrit les recherches qu’a menées la Banque au moyen de modèles théoriques et empiriques en vue de mieux comprendre les relations entre l’évolution financière et l’activité macroéconomique au lendemain de la récente crise financière mondiale.
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