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12 mai 1998

Le point sur les biais de mesure inhérents à l'IPC canadien

L'indice des prix à la consommation (IPC) sert à mesurer les variations du niveau des prix des biens et services consommés au pays. Indicateur des variations du coût de la vie, l'IPC est entaché de divers types de biais de mesure. Cet article fournit des estimations quant à l'ampleur de ces biais inhérents à l'IPC canadien. Il arrive à la conclusion que le taux de croissance de l'IPC exagère probablement l'augmentation du coût de la vie au Canada d'environ un demi-point de pourcentage par an.
15 décembre 2016

La réforme des marchés des dérivés de gré à gré au Canada : vers des marchés plus résilients

Dans La réforme des marchés des dérivés de gré à gré au Canada : vers des marchés plus résilients, Michael Mueller et André Usche montrent que la mise en œuvre des réformes des marchés des dérivés au Canada progresse bien et qu’elle a atténué les vulnérabilités. Toutefois, les changements qu’elle entraîne dans la structure des marchés ont des effets positifs et négatifs, qui doivent faire l’objet d’un suivi attentif de la part des autorités.
14 août 1997

L'incidence de la privatisation sur la situation des finances publiques au Canada

La privatisation, qui consiste dans le transfert d'activités du secteur public au secteur privé, s'est fortement développée sur la scène internationale dans les années 80 en raison de la nécessité de réduire les déficits budgétaires et des préoccupations croissantes au sujet de l'efficience des sociétés d'État et des bureaucraties gouvernementales. Cet article traite de la privatisation au Canada et de son incidence sur la situation financière des administrations publiques nationales. La privatisation a été en général moins rapide et moins étendue au Canada qu'à l'étranger, en partie à cause de la taille relativement réduite du secteur public canadien. Néanmoins, le gouvernement fédéral, les provinces et les municipalités ont réduit de plus en plus leur participation directe aux activités économiques en vendant des sociétés d'État, en sous-traitant la fourniture de services publics par des entreprises privées et en transférant au secteur privé la mise en oeuvre de projets d'infrastructure publique. L'incidence de la privatisation de sociétés d'État sur les finances publiques varie selon certains facteurs tels que la rentabilité de la société concernée, l'importance de l'investissement initial du gouvernement et les réductions de valeur passées. Normalement, lorsqu'elles s'inscrivent dans un objectif plus vaste d'assainissement des finances publiques, les privatisations contribuent à l'amélioration de la situation financière de l'État en réduisant ses besoins de financement et son endettement. Lorsqu'il y a privatisation de services et de projets d'infrastructure, on s'attend à ce qu'une gestion plus efficiente par le secteur privé entraîne une réduction des dépenses publiques. Par exemple, un groupe privé peut être en meilleure position que le secteur public pour gérer les risques financiers inhérents aux grands travaux d'infrastructure, tels que les dépassements de coût ou le retrait de certains entrepreneurs. Toutefois, le facteur clé qui détermine les gains d'efficience et la baisse des coûts est la concurrence, et non la privatisation en soi. Par conséquent, les économies pouvant résulter de la privatisation de services et de travaux publics dépendent très fortement des modalités des contrats. Dans l'ensemble, lorsqu'elles sont structurées de façon à encourager l'efficience économique, les privatisations sont de nature à améliorer la tenue de l'économie et, partant, à produire des gains à long terme sur les plans économique et budgétaire.

Démêler les facteurs qui influencent les reventes de logements

Note analytique du personnel 2019-12 Mikael Khan, Taylor Webley
Nous utilisons un modèle élaboré récemment et des microdonnées sur les prêts individuels pour décomposer les mouvements sur le marché de la revente depuis 2015. Nous constatons que les facteurs fondamentaux, notamment l’accessibilité au logement et l’emploi à temps plein, ont fait contrepoids aux ventes de maisons existantes pendant la période visée par notre étude.
17 mai 2012

Revue de la Banque du Canada - Printemps 2012

Cette livraison renferme un résumé du colloque annuel de la Banque, qui a eu lieu en novembre 2011 et était consacré aux systèmes de paiement, et deux articles où sont décrites les recherches du personnel de la Banque sur les déséquilibres des balances courantes dans le monde et l’évaluation des risques macrofinanciers. Le quatrième article passe en revue les récents résultats livrés par les régimes de ciblage de l’inflation.
11 septembre 2009

L'analyse des écarts sur obligations de sociétés à partir des données relatives aux swaps sur défaillance

Depuis l'éclatement de la crise du crédit en 2007, les écarts de rendement sur obligations de sociétés se sont beaucoup élargis de par le monde. Les auteurs étudient les deux composantes principales – le risque de défaut et le risque de liquidité – des écarts relatifs aux obligations émises par les entreprises canadiennes sur le marché américain, et tout particulièrement leur évolution durant la crise. Ils constatent qu'au cours de cette période, la composante risque de liquidité a davantage augmenté pour les obligations de catégorie spéculative que pour celles de catégorie investissement, conformément au scénario d'une ruée vers les titres de qualité. De ces résultats découle une implication majeure : les politiques destinées à remédier aux difficultés que connaissent les marchés de crédit doivent tenir compte du fait que la composante risque de liquidité des écarts de rendement se comporte différemment de la composante risque de défaut, surtout en période de crise.
11 juin 2009

Revue de la Banque du Canada - Été 2009

Été 2009
Étude des facteurs qui incitent les institutions financières à conserver à leur bilan différents actifs pouvant être affectés en nantissement en dépit des coûts d’opportunité élevés que cela implique; examen de la complexité propre à tout système contemporain de gestion des risques et de certaines stratégies susceptibles d’améliorer les systèmes de gestion des risques; analyse des causes et des conséquences des fluctuations du rythme de redistribution du travail au Canada; description de la structure et du fonctionnement de BOC-GEM, version maison du modèle de l’économie mondiale, et présentation d’exemples montrant comment le modèle a été appliqué récemment.
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