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Security Transaction Taxes and Market Quality

Document de travail du personnel 2011-26 Anna Pomeranets, Daniel G. Weaver
Les auteurs examinent les neuf changements que l’État de New York a apportés à sa taxe sur les transactions de titres entre 1932 et 1981. Ils constatent que l’instauration d’une taxe de ce genre ou sa majoration conduit à un élargissement des écarts entre les cours acheteur et vendeur, à une baisse des volumes ainsi qu’à une augmentation de l’incidence des transactions sur les prix.

The Financialization of Food?

Document de travail du personnel 2013-39 Valentina G. Bruno, Bahattin Buyuksahin, Michel A. Robe
Les corrélations entre les rendements des actions et des contrats sur matières premières agricoles, ainsi qu’entre les rendements de différents contrats sur divers produits agricoles, ont fortement augmenté après la crise financière de 2008.
15 août 2000

Enquête sur la restructuration des entreprises au Canada

Vers la fin des années 1980 et le début des années 1990, un certain nombre de changements structurels se sont opérés dans l'économie canadienne. À ce titre, on peut mentionner les accords de libre-échange avec les États-Unis (ALE) et avec le Mexique (ALENA), les progrès considérables de la technologie, la déréglementation de nombreux secteurs de l'économie, l'arrivée au pays de grandes sociétés américaines de commerce de détail et l'introduction de la TPS.

A Horse Race of Monetary Policy Regimes: An Experimental Investigation

Document de travail du personnel 2022-33 Olena Kostyshyna, Luba Petersen, Jing Yang
Comment les banques centrales devraient-elles formuler la politique monétaire en périodes de stabilité et lors de récessions? Nous procédons à une évaluation comparative de cinq régimes de politique monétaire dans le cadre d’expériences de laboratoire, afin de déterminer jusqu’à quel point ces différentes approches permettent de remplir les attentes du public et de stabiliser l’économie.
8 décembre 2005

La construction d'une politique monétaire adaptée à la réalité canadienne

Au moment de sa création en 1935, la Banque du Canada pouvait s'inspirer de deux modèles fort différents (ceux de la Banque d'Angleterre et de la Réserve fédérale américaine) pour concevoir les instruments de mise en oeuvre de sa politique monétaire. Même si, dans les débuts, certains éléments de la politique monétaire de la Banque — tels que le rôle du mécanisme de réescompte et le recours à la persuasion morale — ont été calqués sur l'exemple britannique, des différences importantes ont concouru au développement d'une approche spécifiquement canadienne. Chant décrit ce qu'il juge être des innovations typiquement canadiennes : le transfert des dépôts du gouvernement comme moyen privilégié de gérer la liquidité bancaire; l'adoption d'une méthode de calcul des réserves obligatoires basée sur les chiffres de la période précédente; et la décision de la Banque de laisser flotter le taux d'escompte à deux reprises. Il fait également un survol de la série de mesures audacieuses prises dans les années 1990 : simplification des procédures de compensation et de règlement, réduction des réserves obligatoires et établissement par la Banque d'une cible pour le taux du financement à un jour. L'auteur estime que ces changements ont amélioré l'efficience du marché, réduit les risques et l'incertitude et renforcé l'influence que la Banque exerce sur le taux à un jour, sa cible opérationnelle à court terme.
20 novembre 2018

Le choix du meilleur cadre de conduite de la politique monétaire pour le Canada

Discours Carolyn A. Wilkins École de politiques publiques Max Bell, Université McGill Montréal (Québec)
La première sous-gouverneure, Carolyn A. Wilkins, traite des questions qui influent sur la définition des cadres de conduite de la politique monétaire et de la manière dont elles se sont complexifiées depuis la crise financière mondiale.
14 décembre 1998

La rigidité à la baisse des salaires

La capacité de l'inflation de faciliter l'ajustement des prix et des salaires, donc d'améliorer la tenue de l'économie, a fait couler beaucoup d'encre récemment. Le débat s'est focalisé plus précisément sur la question de savoir si les salaires sont rigides à la baisse. On dit que les salaires sont « rigides à la baisse » quand le taux de rémunération de certains travailleurs résiste aux pressions à la baisse qu'exerce une modification de l'offre et de la demande. Certains auteurs ont laissé entendre que, lorsque la rigidité à la baisse des salaires nominaux est généralisée, il vaut mieux adopter une politique monétaire visant un taux d'inflation positif. Dans cet article, les auteurs évaluent l'hypothèse de la rigidité des salaires. Ils se penchent d'abord sur les observations empiriques afin d'évaluer le degré de rigidité à la baisse des salaires au Canada. Ils analysent ensuite quelques éléments fondamentaux de l'hypothèse de rigidité et ses implications pour l'emploi et voient si la combinaison d'une rigidité des salaires et d'une faible inflation a effectivement réduit l'emploi.
22 décembre 2005

Soixante-dix ans d'activité : la Banque du Canada dans le contexte international (1935-2005)

Bordo et Redish examinent l'évolution qu'ont connue les banques centrales au cours des 70 dernières années et mettent en lumière les périodes durant lesquelles le Canada a innové sur le plan des pratiques de banque centrale ou semblé suivre une démarche légèrement différente de celle des autres pays. Ils soulignent que les forces à l'oeuvre à l'échelle mondiale ont apparemment beaucoup influé sur l'inflation tout au long de ces 70 années, le Canada et les États-Unis ayant enregistré des taux d'inflation à peu près identiques même si leurs régimes de politique monétaire respectifs différaient sensiblement à certains égards. Le Canada, par exemple, s'est doté relativement tard d'une banque centrale, longtemps après la plupart des autres pays industrialisés. Le Canada a aussi été le seul pays à laisser sa monnaie flotter dans les années 1950 et au début de la décennie suivante, soit durant une bonne partie de la période régie par les accords de Bretton Woods. Il a en outre adopté des cibles d'inflation bien avant que les banques centrales de la majorité des autres pays n'en fassent autant, et il a introduit un certain nombre d'innovations au chapitre de la mise en oeuvre de la politique monétaire dans les années 1990.
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