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10 avril 2024
La politique monétaire agit pour réduire les pressions inflationnistes. L’inflation baisse, mais il faudra encore du temps pour savoir s’il s’agit d’un progrès durable. La Banque prévoit que l’inflation se maintiendra autour de 3 % au deuxième trimestre de 2024, qu’elle diminuera sous la barre des 2,5 % au second semestre de l’année et qu’elle reviendra à la cible en 2025.
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30 janvier 2007
L’année 2006 a marqué un tournant pour la Banque du Canada. Nous avons mené à bien notre plan à moyen terme, La Banque de demain, et commencé à écrire un autre chapitre de l’histoire de l’institution, fondé sur un nouveau plan triennal. Dans le présent rapport, nous ne nous contentons pas de rendre compte de nos réalisations passées; nous fournissons également de l’information sur les plans et les priorités exposés dans notre plus récent plan à moyen terme. Et à mesure que nous progressons, nous avons toujours présent à l’esprit le mandat initial de la Banque, établi il y a plus de 70 ans, qui consiste à « favoriser la prospérité économique et financière du Canada ».
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Les auteures tentent de déterminer si l’évolution des prix des maisons et du ratio de ces prix aux loyers aux États-Unis peut s’expliquer par le fait que les anticipations ne soient pas entièrement rationnelles.
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25 octobre 2017
Les projections de croissance de l’économie canadienne ont été revues à la hausse pour 2017 et 2018, à 3,1 % et 2,1 % respectivement, et se chiffrent à 1,5 % pour 2019.
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21 avril 2021
Alors que l’économie se remet des effets de la pandémie de COVID-19, la Banque prévoit une croissance de l’ordre de 6½ % cette année, puis d’environ 3¾ % en 2022 et 3¼ % en 2023.
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17 août 2001
L'auteur analyse les effets que les principales variations des prix de l'énergie ont eus sur l'inflation et le rythme de l'expansion économique ces dernières années, puis les compare aux répercussions des chocs pétroliers survenus dans les années 1970 et au début de la décennie suivante.
Il se penche sur l'évolution de l'intensité de la consommation d'énergie et de l'excédent de la balance commerciale canadienne au titre des produits et ressources énergétiques. De plus, l'auteur examine en quoi une politique monétaire axée sur un niveau d'inflation bas et stable peut influer sur les comportements en matière de fixation des prix et sur les répercussions de la hausse des cours de l'énergie sur l'inflation fondamentale, au Canada et dans les autres pays industriels.
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15 juillet 2015
La croissance économique au Canada devrait s’établir en moyenne à un peu plus de 1 % en 2015 et à environ 2 1/2 % en 2016 et en 2017.
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18 octobre 2005
La compréhension des causes à l'origine des variations du taux de change représente un défi constant pour les économistes. Malgré des recherches approfondies, les modèles macroéconomiques traditionnels de détermination du taux de change — à l'exception de l'équation de taux de change de la Banque du Canada — n'ont pas obtenu beaucoup de succès. Cette lacune a incité des économistes à explorer de nouvelles méthodes de modélisation fondées sur des cadres d'analyse plus complexes et plus réalistes. Dans le contexte de la forte appréciation que le dollar canadien a connue en 2003 et 2004, Bailliu et King passent en revue les différents modèles de taux de change macroéconomiques ainsi que les modèles microstructurels qui mettent en relief l'importance des mécanismes de transaction, de l'asymétrie d'information et de l'hétérogénéité des investisseurs dans la compréhension de la dynamique de court terme des taux de change. Les auteurs dressent un bilan des connaissances actuelles concernant les déterminants du taux de change, soulignent les récentes percées dans ce domaine et dégagent de nouveaux axes de recherche prometteurs.
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9 mai 2024
Le système financier du Canada demeure résilient. Au cours de la dernière année, les ménages, les entreprises, les banques et les institutions financières non bancaires ont continué de s’adapter de façon proactive aux taux d’intérêt plus élevés. Mais cet ajustement n’est pas encore fini et continue de présenter des risques pour la stabilité financière. Ces risques concernent en particulier le service de la dette et l’évaluation des actifs.
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6 décembre 2012
Le Conseil de direction estime que les risques pesant sur la stabilité du système financier canadien restent élevés, tout comme ils l’étaient en juin dernier, au moment de la parution de la dernière livraison de la Revue du système financier. Les sources desquelles émanent ces risques sont en gros les mêmes qu’alors et résultent surtout du contexte extérieur.