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17 novembre 2016

Récentes modifications à la politique d’octroi d’une aide d’urgence de la Banque du Canada

L’aide d’urgence est un prêt ou une avance de dernier ressort que la Banque du Canada accorde, à sa discrétion et moyennant garantie, aux institutions financières et aux infrastructures de marchés financiers admissibles aux prises avec de graves problèmes de liquidité. En décembre 2015, la Banque a révisé sa politique d’octroi d’une aide d’urgence afin de : 1) remplacer le critère de solvabilité de l’institution financière par une nouvelle exigence, à savoir la mise en place d’un cadre de redressement et de résolution crédible; 2) inclure les créances hypothécaires dans les garanties acceptables; 3) clarifier les critères d’admissibilité imposés aux infrastructures de marchés financiers et aux institutions de dépôt provinciales.
24 octobre 2016

Déclaration préliminaire devant le Comité permanent des finances de la Chambre des communes

Déclaration préliminaire Stephen S. Poloz Comité permanent des finances de la Chambre des communes Ottawa (Ontario)
Monsieur le Président, distingués membres du Comité, bonjour. La première sous-gouverneure Wilkins et moi sommes heureux d’être ici parmi vous aujourd’hui. Nous avons l’habitude de nous présenter devant votre comité deux fois par année pour discuter du Rapport sur la politique monétaire (RPM). Nous avons publié la plus récente livraison du Rapport la semaine dernière […]
24 octobre 2016

Déclaration commune du gouvernement du Canada et de la Banque du Canada concernant le renouvellement de la cible de maîtrise de l’inflation

Le gouvernement du Canada et la Banque du Canada ont convenu que la cible d’inflation continuera d’être définie en fonction du taux d’augmentation sur douze mois de l’IPC global, qu’elle demeurera fixée à 2 %, soit le point médian d’une fourchette de maîtrise de l’inflation qui va de 1 à 3 %, et que la nouvelle entente portera également sur une période de cinq ans, qui prendra fin le 31 décembre 2021.
Type(s) de contenu : Médias, Communiqués
4 juin 2016

Dosage des politiques monétaire et budgétaire et stabilité financière : le moyen terme est encore le message

Conférence Stephen S. Poloz Association canadienne d’économique Ottawa (Ontario)
Le gouverneur Stephen S. Poloz traite du dosage des politiques monétaire et budgétaire au sein d’une économie, et de ses implications pour les niveaux d’endettement et pour la stabilité financière à moyen terme.
11 mai 2017

L’économie numérique

Les technologies numériques – infonuagique, Internet des objets, robotique de pointe, analyse de mégadonnées, intelligence artificielle et apprentissage automatique, médias sociaux, impression 3D, réalité augmentée, réalité virtuelle, monnaie électronique et grand livre partagé – transforment le fonctionnement des entreprises. Comment cette transformation se compare-t-elle aux révolutions industrielles passées? Comment les technologies numériques changent-elles les systèmes de production dans les différents secteurs? Les entreprises capables de s’adapter, faisant grand usage des connaissances et disposant d’un capital organisationnel et d’un capital humain élevés semblent prêtes à tirer le meilleur parti de la numérisation de l’économie, mais quelles seront ses répercussions sur la productivité, les marchés du travail, l’inflation et la politique monétaire?
11 mai 2017

Comment expliquer l’atonie de l’investissement des entreprises à l’échelle mondiale? Éléments de réponse tirés des économies avancées

Plusieurs facteurs qui influencent les investissements des entreprises peuvent offrir une explication à l’atonie de l’investissement observée dans les économies avancées depuis la crise financière mondiale, et plus particulièrement depuis 2014. La lenteur du rythme de croissance de la demande globale ne peut rendre entièrement compte de la faiblesse récente des dépenses d’investissement, qui apparaît essentiellement liée à l’effondrement des prix internationaux des matières premières et à la montée de l’incertitude économique. À terme, le taux de progression des investissements des entreprises demeurera vraisemblablement inférieur à ce qu’il était avant la crise, pour une bonne part à cause de facteurs structurels comme le vieillissement démographique.
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