Rechercher

Types de contenu

Sujets

Codes JEL

Endroits

Départements

Auteurs

Sources

États

Publié après

Publié avant

9270 résultats

14 avril 2006

Tendances en matière de paiement de détail et résultats d'un sondage mené auprès du public

Bien que le volume et la valeur des billets de banque aient continué d'augmenter, le recours accru au paiement électronique a eu une incidence sur l'utilisation de l'argent liquide. L'auteure présente les résultats d'un sondage mené en 2004 par la Banque du Canada sur les habitudes de paiement des consommateurs et sur leurs perceptions face à l'argent liquide et à ses substituts, dont leur confiance à l'égard de la sûreté des billets de banque. Des analyses de ces résultats indiquent que la demande de billets est liée à de nombreux facteurs, tels que le revenu, l'âge, le niveau de scolarité, le sexe, l'utilisation des cartes de débit et de crédit de même que la perception de commodité associée à l'argent comptant. Taylor présente aussi un nouvel indice de confiance dans les billets de banque qui servira de point de comparaison pour les sondages futurs.
16 décembre 1999

L'évolution économique et financière jusqu'au 16 février 2000 : une mise à jour de l'analyse présentée dans le Rapport sur la politique monétaire

Faits saillants * Le rythme de l'activité économique aux États-Unis reste vigoureux et dépasse les projections antérieures. * La demande extérieure étant plus vigoureuse que prévu, la Banque s'attend maintenant à ce que la croissance du PIB réel au Canada en l'an 2000 se situe dans la moitié supérieure de la plage de 2,75 % à 3,75 % projetée dans le Rapport sur la politique monétaire de novembre dernier. * L'inflation mesurée par l'indice de référence a été inférieure aux prévisions en novembre, en partie à cause des rabais pratiqués sur certains biens semi-durables. * La Banque s'attend à ce que l'inflation mesurée par l'indice de référence s'accélère pour atteindre 2 % au premier trimestre de l'an 2000. * En raison de la hausse des prix de l'énergie, le taux d'accroissement de l'IPC global devrait monter à près de 3 % au début de l'année. * L'évolution observée au cours des trois derniers mois vient confirmer les risques pesant sur les perspectives de l'économie canadienne qui ont été évoqués dans le dernier Rapport, à savoir une accélération de la croissance de la demande de produits canadiens au pays et à l'étranger et une recrudescence des pressions inflationnistes potentielles aux États-Unis. Les données recueillies depuis le 14 janvier, date de la mise à jour de l'analyse présentée dans le Rapport sur la politique monétaire de novembre dernier, continuent de laisser entrevoir un raffermissement des perspectives de l'économie mondiale et de l'activité au Canada. Aux États-Unis, l'expansion du PIB réel a encore dépassé les attentes — atteignant un taux annuel de 5,8 % au quatrième trimestre de 1999. Bien que des pressions s'exercent manifestement sur les prix et les coûts aux États-Unis, la forte croissance de la productivité a maintenu les coûts unitaires de main-d'oeuvre à un bas niveau. Toutefois, comme la demande s'est accrue à un rythme supérieur à celui de la capacité potentielle et qu'une telle situation présente des risques d'inflation, la Réserve fédérale a haussé le taux cible des fonds fédéraux de 25 points de base pour le porter à 5,75 % le 2 février. Même si la tendance de l'inflation reste faible dans les pays industriels, un certain nombre d'autres grandes banques centrales, s'inquiétant de l'apparition future de pressions inflationnistes compte tenu du renforcement de la demande, ont aussi haussé leurs taux directeurs au cours des deux dernières semaines. La vigueur de la demande étrangère, particulièrement de la demande américaine, continue de transparaître dans les plus récentes données sur notre balance commerciale. La croissance des exportations est restée forte en novembre, et le solde global a affiché un excédent important. Les cours mondiaux de nos principaux produits de base continuent aussi de se redresser sous l'effet du raffermissement de la demande globale. Au pays, les chiffres les plus récents au sujet de la demande et de la production témoignent d'une robustesse continue. Le PIB réel (au coût des facteurs) s'est accru de 0,6 % en novembre (4,6 % en glissement annuel), et l'emploi a maintenu sa forte progression en fin d'année et au début de janvier. D'autres indicateurs, y compris les dernières données sur les agrégats monétaires, confirment ce tableau économique favorable. La Banque prévoit à l'heure actuelle que la croissance du PIB en 2000 se situera près de la limite supérieure de la plage de 2,75 à 3,75 % projetée en novembre. Le taux d'accroissement de l'indice de référence que nous utilisons pour mesurer l'inflation a été de 1,6 % (en glissement annuel) en décembre, soit légèrement au-dessous des prévisions, en partie à cause des rabais temporaires pratiqués sur certains produits. Nous pensons encore que l'inflation mesurée par l'indice de référence montera pour s'établir au point médian de la fourchette cible de 1 à 3 % au premier trimestre de cette année. Parallèlement, le taux d'augmentation de l'IPC global grimpera probablement à près de 3 % en raison de l'escalade récente des prix de l'énergie, mais on continue de s'attendre à ce qu'il redescende dans le courant de l'année pour se rapprocher de celui de l'indice de référence, à mesure que les prix de l'énergie se modéreront. La Banque du Canada a relevé le taux officiel d'escompte de 25 points de base pour le porter à 5,25 % le 3 février. La Banque a pris sa décision en tenant compte notamment du dynamisme de la demande de produits canadiens tant au pays qu'à l'étranger, de l'importance de veiller à ce que l'économie s'approche de façon prudente des limites de sa capacité de production et du risque d'un déversement au Canada des pressions inflationnistes qui pourraient s'exercer aux États-Unis.
20 juin 2008

Le modèle canadien de gestion de la dette

À titre d'agent financier du gouvernement, la Banque du Canada fournit des analyses et des conseils ayant trait à la gestion du portefeuille de la dette publique intérieure. Les décisions en matière de gestion de la dette doivent s'appuyer sur des hypothèses concernant les taux d'intérêt futurs, la tenue de l'économie et la politique budgétaire; or, lorsqu'une stratégie de financement est arrêtée, aucun de ces facteurs n'est connu avec certitude. En outre, le gouvernement dispose de plusieurs options de financement (bons du Trésor, obligations nominales et obligations indexées sur l'inflation) pour respecter son objectif de réduire au maximum les charges d'intérêt tout en adoptant un profil de risque prudent et en favorisant le bon fonctionnement des marchés des titres d'État. Le personnel de la Banque a par conséquent élaboré un modèle mathématique pour soutenir le processus décisionnel. Cet article expose les aspects clés du problème que doit résoudre le gestionnaire de la dette ainsi que les principales hypothèses à la base du modèle de gestion de la dette; certains résultats issus du modèle sont aussi présentés à titre illustratif.
6 mai 2010

Les produits de base sont-ils victimes d’une malédiction? Leçons du passé

Discours John Murray membres de l’Institute for Public Economics de l’Université de l’Alberta et de l’Institut C. D. Howe Edmonton (Alberta)
Comme le titre de la conférence l’évoque, le secteur des produits de base a traversé de nombreux cycles d’expansion et de contraction. Une question évidente et fondamentale se pose : comment éviter ceux-ci à l’avenir?

Liquidity Transformation and Bank Capital Requirements

Document de travail du personnel 2010-22 Hajime Tomura
L'auteur présente un modèle d'équilibre général dynamique dans lequel l'asymétrie de l'information relative à la qualité des actifs entraîne leur illiquidité. L'activité bancaire est générée de façon endogène : les banques peuvent regrouper les actifs illiquides de façon à ce que leurs caractéristiques idiosyncrasiques se neutralisent et émettre des passifs illiquides adossés au bloc d'actifs constitué, dont la qualité globale est connue de tous.
10 septembre 2010

Le rétablissement de la confiance dans le système monétaire international est essentiel au succès du G20, selon le gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney

Le gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney, a exhorté aujourd'hui les grandes économies du globe à faire en sorte que leurs politiques intérieures soient compatibles avec le cadre du G20 à l'appui d'une croissance forte, durable et équilibrée, et à soutenir les réformes du système financier préconisées par le G20.
Type(s) de contenu : Médias, Communiqués
22 juin 2010

Les risques pour la stabilité financière du Canada dans un monde incertain

Discours Timothy Lane Association CFA Winnipeg Winnipeg (Manitoba)
Les événements récents ont mis en lumière le fait que, en matière de finance et d’économie, l’interdépendance est très souvent la règle à l’échelle du globe. Tout au long de son histoire, le Canada a été fortement influencé par ce qui se passe à l’extérieur de ses frontières.
Aller à la page