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La politique monétaire a-t-elle des effets asymétriques sur l'emploi?

Document de travail du personnel 1998-17 Lise Pichette
Depuis quelques années, certains économistes, dont Cover (1992), Ammer et Brunner (1995), Macklem, Paquet et Phaneuf (1996), tentent de déterminer si les chocs de politique monétaire ont des effets asymétriques sur la production. Ces auteurs ont généralement observé que les chocs monétaires négatifs ont tendance à réduire de façon significative la croissance de la production, […]

Modelling the Behaviour of U.S. Inventories: A Cointegration-Euler Approach

Document de travail du personnel 1997-19 Iris Claus
On invoque souvent le cycle des stocks pour expliquer le ralentissement conjoncturel de l'activité économique, en partie parce que l'évolution des stocks peut amplifier les fluctuations cycliques de la production. Un fléchissement inattendu de la demande provoque généralement un gonflement involontaire des stocks, les entreprises n'ajustant leur production et le niveau effectif de leurs stocks par rapport au niveau qu'elles souhaitent détenir qu'après un certain temps.
13 décembre 2007

La performance des banques centrales en régime de cibles d'inflation

L'auteur examine l'apport des divers facteurs qui concourent à l'atteinte de la cible d'inflation. L'étude de données portant sur un groupe de 21 pays pourvus d'une cible d'inflation, et couvrant la période du premier trimestre de 1990 au deuxième trimestre de 2007, met en lumière des disparités notables entre les banques centrales quant au respect de leurs cibles respectives. Les mouvements de change, les déficits des finances publiques et les niveaux de développement différents du secteur financier peuvent expliquer une partie des écarts observés. Les autres écarts tiennent plutôt à des différences dans le régime lui-même et les caractéristiques de sa mise en oeuvre.
15 septembre 2008

L'ajustement à l'envolée des prix des produits de base : l'expérience vécue par quatre pays industrialisés

Entre 2002 et 2008, les cours mondiaux des produits de base ont connu une augmentation sans précédent. Michael Francis examine la manière dont quatre pays industrialisés exportateurs de produits de base (l'Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande et la Norvège) se sont adaptés au boom des matières premières. L'article analyse aussi bien l'ajustement direct lié à la hausse de l'emploi et des dépenses d'investissement dans le secteur des produits de base que l'ajustement indirect observé à l'échelle de l'économie. Le mécanisme d'ajustement indirect qu'a enclenché la progression des revenus imputable au boom des matières premières a été le principal vecteur d'ajustement dans chacune des quatre économies, en favorisant l'accroissement de la demande globale et l'appréciation des taux de change et en facilitant l'adaptation d'autres secteurs tels que la fabrication et la construction.
15 septembre 2008

Les effets des récents mouvements des prix relatifs sur l'économie canadienne

Si l'amélioration des termes de l'échange due à la vive montée que les prix réels des produits de base ont connue au cours des quelque cinq dernières années a fait progresser le niveau de vie des Canadiens, la hausse des prix des produits de base, conjuguée à celle du dollar et des revenus réels, a provoqué des ajustements structurels en modifiant les incitations économiques sous-jacentes. Les frictions créées par l'ajustement de l'économie au choc des prix relatifs ont probablement concouru à freiner la croissance de la productivité globale. Dupuis et Marcil étudient les ajustements structurels qui se sont avérés nécessaires – en particulier le redéploiement des ressources entre les divers secteurs économiques et son incidence sur l'emploi, la production et la productivité. Sont aussi analysés les effets sur la demande intérieure finale et les flux du commerce extérieur.
12 octobre 2007

Atelier de la Banque du Canada sur les marchés des produits dérivés au Canada et à l'étranger

La Banque du Canada a été l'hôte, en 2006, d'un atelier où acteurs des marchés financiers, représentants des organismes de réglementation et décideurs de différents pays se sont penchés ensemble sur l'évolution récente du marché des produits dérivés. Au nombre des thèmes qui ont été débattus durant l'atelier figure l'essor prodigieux qu'ont connu les instruments de transfert du risque (p. ex., les dérivés de crédit et les produits dérivés indexés sur l'inflation) ces dernières années, de même que les défis et les avantages associés à l'utilisation de ces instruments. De l'avis des participants, le développement des marchés des produits dérivés est globalement bénéfique sur le plan économique, car il contribue, entre autres, à compléter les marchés financiers, à améliorer la liquidité ainsi qu'à renforcer la capacité du système financier à évaluer et à supporter les risques. Les participants ont toutefois aussi exprimé quelques inquiétudes, se demandant en particulier si les investisseurs comprenaient parfaitement la nature des risques liés aux dérivés de crédit.
22 octobre 2006

TOTEM, le nouveau modèle de projection et d’analyse de politiques de la Banque du Canada

En décembre 2005, ToTEM (pour Terms-of-Trade Economic Model) a remplacé le Modèle trimestriel de prévision (MTP) à titre de principal modèle utilisé par la Banque du Canada pour l'élaboration de projections au sujet de l'économie canadienne et l'analyse de politiques. Bénéficiant des progrès accomplis dans les domaines de la modélisation économique et de l'informatique tout en prenant solidement appui sur les forces du MTP, TOTEM permet de prendre en compte le comportement optimisateur des entreprises et des ménages dans une économie à produits multiples, aussi bien en régime permanent que hors équilibre. Les auteurs exposent les motifs de la mise au point du modèle TOTEM, décrivent sommairement le modèle et son étalonnage et présentent des simulations simples pour illustrer quelques-unes de ses principales propriétés. Un aperçu de l'évolution probable du modèle dans l'avenir clôt l'article.
21 décembre 2002

Les régimes de change dans les économies émergentes

Les graves crises financières qui se sont succédé dans le monde dans les années 1990, conjuguées au récent lancement de l'euro, ont ravivé l'intérêt pour la question du choix du régime de change. Celle-ci revêt une acuité particulière dans le cas des pays à marché émergent — les autres pays étant perçus comme n'ayant d'autre choix que de conserver le régime en place ou comme étant très peu susceptibles d'y apporter des modifications. L'article analyse l'évolution des régimes de change dans les marchés émergents au cours de la dernière décennie et compare les forces et les faiblesses des divers systèmes possibles. Ceux-ci comprennent les régimes intermédiaires, comme les parités fixes mais ajustables qui ont été populaires pendant la plus grande partie de l'après-guerre, et les régimes de change situés aux deux pôles de l'éventail : taux de change fixé de façon définitive et flottement libre. Deux formules proposées récemment sont également étudiées : le flottement dirigé « bonifié » (en anglais, Managed Floating Plus) et l'arrimage à un panier de devises avec marges de fluctuation et parité mobile. Les deux formules tentent de combiner les avantages des régimes de changes flottants et fixes, mais la plus prometteuse paraît être le flottement dirigé bonifié.
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