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30 janvier 2009

Rapport annuel 2008

Nous avons traversé une année difficile. La tourmente financière qui a débuté au milieu de 2007 a dégénéré, au cours de 2008, en une crise financière mondiale généralisée. Si le système financier canadien a fait preuve d’une résilience et d’une solidité remarquables à bien des égards, l’envergure de la crise et de la récession qui s’en est suivie à l’échelle du globe avait, à la fin de l’année, des répercussions grandissantes sur notre système financier et notre économie.
Type(s) de contenu : Publications, Rapport annuel
30 janvier 2004

Rapport annuel 2003

La Banque du Canada s’est attachée ces dernières années à exposer les buts qu’elle vise et les moyens qu’elle prend pour y parvenir. Elle a continué de renforcer le cadre de conduite de sa politique monétaire et s’est fixé des priorités dans tous ses pôles d’activité pour l’aider à atteindre ses objectifs stratégiques. En 2002, la Banque a élaboré un plan à moyen terme pour la période de 2003 à 2005. Le cadre de politique et les priorités qui y sont clairement définis ont guidé au premier chef nos analyses et nos décisions en 2003, une année qui, pour les Canadiens d’un bout à l’autre du pays, aura été troublée par plusieurs événements graves et inattendus.
Type(s) de contenu : Publications, Rapport annuel
22 août 2004

Comment les marchés canadiens de capitaux se comparent-ils aux autres?

Dans une allocution prononcée dernièrement, la sous-gouverneure Sheryl Kennedy évalue l'efficience relative des marchés canadiens de capitaux dans une optique mondiale. Elle passe en revue la tenue récente de ces marchés au regard des trois aspects de l'efficience — les aspects allocatif, opérationnel et informationnel — et souligne que le degré d'efficience allocative d'un marché est fonction de son degré d'efficience informationnelle et opérationnelle. Pour évaluer l'efficience allocative, Mme Kennedy examine la taille et la complétude des marchés canadiens ainsi que la facilité d'accès au financement. Elle aborde la question de l'efficience opérationnelle des marchés sous l'angle de leur liquidité et de la compétitivité des coûts de transaction. Enfin, elle se penche sur la transparence et l'intégrité des marchés au Canada afin de déterminer leur efficience informationnelle. Le tableau brossé par Mme Kennedy fournit des indications sur la façon dont les marchés canadiens peuvent continuer d'accroître leur efficience et demeurer concurrentiels.
22 août 2003

La mesure des attentes de taux d'intérêt au Canada

Les attentes des marchés financiers quant à l'évolution future du taux cible du financement à un jour constituent une importante source d'information pour la Banque du Canada. C'est par l'entremise des marchés financiers que les modifications au taux directeur se transmettent aux autres variables financières, telles que les taux d'intérêt à long terme, le taux de change et les autres prix d'actifs. Une appréciation juste des attentes des marchés peut par conséquent aider les autorités monétaires à évaluer les répercussions possibles des mesures envisagées. Johnson examine l'hypothèse relative aux attentes, selon laquelle il est possible de mesurer les attentes concernant les niveaux futurs du taux cible du financement à un jour en s'appuyant sur les rendements courants du marché monétaire. Bien que l'on puisse déterminer les attentes à partir du rendement courant de n'importe quel titre à revenu fixe à court terme, certains de ces actifs se sont révélés des indicateurs plus fiables que d'autres. La mise en oeuvre d'un régime de dates d'annonce préétablies a coïncidé avec l'accroissement du pouvoir de prévision de ces actifs à court terme. Par suite de cette amélioration, un modèle relativement simple de la courbe de rendement peut maintenant fournir une mesure exacte des attentes des marchés financiers.
25 juin 2005

Changements survenus dans les propriétés d'indicateur des agrégats monétaires au sens étroit

Même si de nombreux pays ont abandonné la poursuite de cibles monétaires au cours des récentes décennies, les agrégats monétaires demeurent utiles comme indicateurs avancés de l'activité économique. Les recherches antérieures ont montré que les agrégats M1 net et M1 brut (mesurés en termes réels) ont traditionnellement été de bons indicateurs de la croissance future de la production comparativement aux autres agrégats. Cependant, avec les innovations financières et l'élimination des réserves obligatoires au cours des 20 dernières années, il est devenu très difficile pour les institutions financières de distinguer les dépôts à vue des dépôts à préavis.
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