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11 août 1996

Revue de la Banque du Canada - Été 1996

BoC Review - Summer 1996/Revue BdC - Été 1996

Page couverture

Tirelire familiale : The Northern Bank

La tirelire illustrée en page couverture avait été fournie par la succursale de Victoria (en Colombie-Britannique) au titulaire du compte 1859. Elle fait partie de la Collection nationale de monnaies, Banque du Canada.

Photographie : James Zagon.

11 novembre 2009

La baisse du degré de persistance de l'inflation au Canada : causes et conséquences

La persistance de l'inflation, mesurée aussi bien selon l'indice de référence que selon l'indice global des prix à la consommation, a sensiblement baissé au Canada depuis les années 1980. En plus de présenter des estimations actualisées de la persistance de l'inflation, l'article examine les raisons avancées dans la littérature pour expliquer la diminution notée. Il opère une distinction entre le rôle rempli par la politique monétaire, de par son incidence sur les comportements de fixation des prix et des salaires, et l'influence des changements structurels potentiels de l'économie qui ne dépendent pas de la politique monétaire. Les auteurs analysent également les conséquences d'une faible persistance de l'inflation sur la conduite de la politique monétaire, y compris la question du choix de la poursuite d'une cible d'inflation ou d'une cible de niveau des prix.
11 novembre 2009

L'évolution des flux de capitaux vers les économies de marché émergentes

De nombreux pays à marché émergent ont amélioré sensiblement leurs fondamentaux macroéconomiques et mis en place des réformes structurelles depuis la crise asiatique. Il en est résulté un meilleur équilibre de la composition des flux de capitaux vers ces pays : la structure de l'endettement s'est améliorée, la part des investissements directs étrangers dans l'ensemble des flux a augmenté et l'accès aux marchés internationaux du crédit s'est élargi pour les entreprises des économies émergentes. De plus, les changements structurels qui se sont opérés sur la scène financière mondiale ont entraîné une hausse des flux de capitaux et procuré des avantages économiques et financiers aux pays émergents. Lors de la récente crise financière, toutefois, la libéralisation des comptes de capital et le resserrement des liens financiers et commerciaux ont contribué à rendre maints pays vulnérables aux perturbations externes. Les économies dont la situation fondamentale était solide ont assez bien résisté à la crise. Dans les années à venir, les autorités des pays émergents devront mettre en oeuvre des politiques qui encouragent les flux de capitaux et veiller à ce que les restrictions imposées en vue de limiter les sorties de capitaux dommageables en période de tension financière ou les entrées rapides de capitaux ne soient que temporaires.
9 mai 1996

Le rôle de la gestion des stocks dans les fluctuations de l'économie canadienne

Les variations des investissements en stocks ont joué dans le passé un rôle majeur dans l'évolution des cycles économiques au Canada. Cependant, l'amélioration des techniques de contrôle des stocks et le recul de l'incertitude lié à la baisse de l'inflation ont permis aux entreprises de gérer leurs stocks de façon beaucoup plus stricte et efficace. Dans cet article, l'auteur traite de l'évolution récente de la gestion des stocks dans le secteur commercial non agricole au Canada, sur le plan tant global que sectoriel, et analyse les répercussions de cette évolution sur le rôle des stocks comme source de fluctuations économiques.
11 mai 1996

L'évolution récente des agrégats monétaires et ses conséquences

En 1995, l'agrégat au sens large M2+ a progressé à un taux annuel de 4,5 % – presque deux fois plus qu'en 1994 –, la concurrence des fonds mutuels ayant eu moins d'incidence, en termes de déplacement de fonds, sur les dépenses d'épargne des particuliers. L'agrégat M2+ corrigé de l'effet de la substituabilité étroite qui existe, par exemple, entre les OEC et certains fonds mutuels n'a progressé que de 3,4 %. L'agrégat M1 brut a augmenté de 8,2 % durant l'année, en raison de l'accroissement de la demande d'encaisses de transaction attribuable au repli des taux du marché et aux taux de rendement plus attrayants offerts par les banques sur les dépôts à vue des sociétés. La croissance vigoureuse de M1 brut au deuxième semestre de 1995 fait présumer que l'activité économique devrait progresser à un rythme modéré durant la première moitié de 1996, alors que la modeste croissance des agrégats au sens large indique un rythme d'expansion monétaire compatible avec le maintien d'un taux d'inflation bas. À l'occasion de cet examen annuel de l'évolution des agrégats monétaires, les auteurs présentent un nouveau modèle, fondé sur les écarts de M1 par rapport à son niveau de long terme, selon lequel le taux d'inflation devrait se maintenir juste au-dessous du point médian de la fourchette cible de maîtrise de l'inflation au cours des deux ou trois prochaines années.
15 septembre 2008

La délocalisation et son incidence sur le marché du travail et la productivité : une revue de la littérature récente

La délocalisation est un aspect de plus en plus patent de la mondialisation en cours. Les résultats d'études empiriques indiquent que la délocalisation n'a pas eu d'incidence notable sur la croissance globale de l'emploi et des revenus dans les économies avancées au cours des deux dernières décennies, mais elle a vraisemblablement contribué à orienter la demande de main-d'oeuvre vers les emplois plus spécialisés. La délocalisation semble avoir des effets positifs sur la productivité, mais ces effets varient d'un pays à l'autre.
15 mai 1999

L'évolution récente des agrégats monétaires et son incidence

Dans le cadre des responsabilités qui lui incombent en matière de politique monétaire, la Banque du Canada suit de près le rythme d'expansion de la masse monétaire afin d'y déceler des indications permettant d'évaluer les perspectives en matière d'inflation et d'activité économique. Ces dernières années, un certain nombre de facteurs ont faussé le profil de croissance des agrégats traditionnels larges et étroits. Dans le présent article, les auteurs font voir que l'élimination des réserves obligatoires et les innovations financières ont entraîné un flottement dans le classement des comptes de dépôt. Ils annoncent l'ajout de deux nouvelles mesures des encaisses de transaction, les agrégats M1+ et M1++ (décrits de manière plus approfondie dans une note technique publiée dans la présente livraison de la Revue), qui sont corrigés d'une partie de l'effet de la substitution qui s'est opérée entre les instruments financiers. Ils attribuent le ralentissement de la croissance de M1 observé en 1998 à l'influence moindre de facteurs spéciaux, à une réaction retardée aux hausses de taux d'intérêt survenues en 1997 et au début de 1998 et à un resserrement passager des modalités de crédit opéré à l'automne 1998. L'agrégat au sens large M2++, qui comprend l'ensemble des dépôts d'épargne des particuliers, les rentes des sociétés d'assurance vie et les fonds communs de placement, a progressé à un rythme soutenu en 1998, ce qui laisse entrevoir une expansion de la dépense totale d'environ 4 à 5 % et le maintien de l'inflation dans les limites de la fourchette cible.
15 septembre 2008

L'enquête de la Banque du Canada auprès des responsables du crédit

La Banque du Canada entretient des relations régulières avec les institutions financières afin de compléter et d'enrichir le large éventail de renseignements sur lequel elle s'appuie pour arrêter son taux directeur. Depuis 1999, la Banque réalise une enquête trimestrielle sur les pratiques des grandes institutions financières canadiennes en matière de prêt aux entreprises. L'analyse des données recueillies révèle l'existence d'une corrélation entre celles-ci et la croissance future du crédit et des investissements réels des entreprises. L'article décrit comment se déroule l'enquête et explique comment est établi le solde des opinions, en mettant en lumière les principales relations statistiques qui se dégagent des données rétrospectives de l'enquête.
14 décembre 1998

La rigidité à la baisse des salaires

La capacité de l'inflation de faciliter l'ajustement des prix et des salaires, donc d'améliorer la tenue de l'économie, a fait couler beaucoup d'encre récemment. Le débat s'est focalisé plus précisément sur la question de savoir si les salaires sont rigides à la baisse. On dit que les salaires sont « rigides à la baisse » quand le taux de rémunération de certains travailleurs résiste aux pressions à la baisse qu'exerce une modification de l'offre et de la demande. Certains auteurs ont laissé entendre que, lorsque la rigidité à la baisse des salaires nominaux est généralisée, il vaut mieux adopter une politique monétaire visant un taux d'inflation positif. Dans cet article, les auteurs évaluent l'hypothèse de la rigidité des salaires. Ils se penchent d'abord sur les observations empiriques afin d'évaluer le degré de rigidité à la baisse des salaires au Canada. Ils analysent ensuite quelques éléments fondamentaux de l'hypothèse de rigidité et ses implications pour l'emploi et voient si la combinaison d'une rigidité des salaires et d'une faible inflation a effectivement réduit l'emploi.
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