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21 mai 2002

Revue de la Banque du Canada - Printemps 2002

Revue BdC - Printemps 2002

Page couverture

Hansatsu japonais

Les billets reproduits en couverture ont une valeur variant de 5 ryo à 50 mon, et datent de la fin du XVIIIe siècle au milieu du XIXe. Le plus grand mesure 5,5 cm sur 16,8 cm. Les quatre pièces font partie de la Collection nationale de monnaies de la Banque du Canada.

Photographie : James Zagon, Ottawa

19 décembre 2001

La gestion des risques du Compte du fonds des changes

Michel Rochette, du Module de gestion du risque de la Banque du Canada, décrit brièvement les méthodes qui sont utilisées pour cerner, analyser, modéliser et gérer les principaux risques inhérents aux opérations du Compte du fonds des changes (CFC), c'est-à-dire le compte où sont détenues les réserves de devises du gouvernement fédéral. L'auteur examine en […]
20 décembre 2001

Le marché canadien des titres à revenu fixe : évolution récente et perspectives

À l'instar d'autres marchés nationaux de capitaux, le marché canadien des titres à revenu fixe traverse actuellement une période de transformation d'ordre structurel. Les auteurs se penchent sur l'évolution et les tendances récentes de ce marché ainsi que sur leurs répercussions possibles. Sous la double influence de la diminution des besoins de financement du gouvernement fédéral et de la hausse soutenue des émissions du secteur privé, la physionomie du marché canadien des titres à revenu fixe a sensiblement changé. Les titres du gouvernement canadien constituent une proportion importante des instruments à revenu fixe en circulation et jouent un rôle fondamental. Ils servent notamment de référence pour l'évaluation d'autres titres négociables, et les acteurs du marché les utilisent comme instrument de couverture pour gérer leur exposition au risque. La réduction du volume des émissions de titres du gouvernement canadien a contribué à une baisse de la liquidité du marché des obligations de référence. Le marché des titres de sociétés étant encore assez peu développé et peu liquide comparativement à celui des titres du gouvernement canadien, cela suscite des préoccupations d'ordre plus général quant à l'avenir du marché canadien des titres à revenu fixe. Il existe à l'heure actuelle peu d'instruments susceptibles de prendre le relais de ces derniers en tant qu'outils de couverture et de référence. Le gouvernement fédéral s'est cependant engagé à préserver l'intégrité du marché des émissions de référence et prend des mesures pour améliorer la liquidité de ce dernier et atténuer les pressions sur l'offre effective de ces titres. Le marché s'oriente par ailleurs vers l'utilisation de plateformes de négociation électronique pouvant faciliter le processus de détermination des prix, accroître la rentabilité et améliorer la liquidité et la transparence du marché.
17 novembre 2001

La prévisibilité du taux moyen d'inflation en longue période

L'incertitude entourant le niveau de l'inflation future a des effets néfastes sur l'économie car elle fausse les décisions des ménages et des entreprises en matière d'épargne et d'investissement. Comme ce genre de décision implique des horizons de planification de plusieurs années, il est possible d'atténuer les coûts associés à cette incertitude en établissant un cadre de conduite de la politique monétaire qui accroît la prévisibilité de l'inflation à long terme. La déclaration émise en mai 2001 sur la reconduction de la cible de maîtrise de l'inflation précisait que la politique monétaire chercherait à maintenir l'inflation à 2 %, le point médian de la fourchette cible, à un horizon de six à huit trimestres. L'auteur explique en quoi cet engagement des autorités monétaires rend l'inflation moyenne davantage prévisible à des horizons supérieurs à un an. Pour illustrer cette relation, il passe en revue l'expérience vécue par le Canada depuis l'établissement de cibles d'inflation.
18 novembre 2001

Une nouvelle mesure de l'inflation fondamentale

La Banque du Canada a défini sa fourchette cible de maîtrise de l'inflation en fonction du taux d'accroissement de l'IPC (indice des prix à la consommation) global, mais elle a recours à un indice qui mesure l'inflation tendancielle ou fondamentale pour la guider, à court terme, dans la conduite de la politique monétaire. Lorsque la cible d'inflation a été reconduite en mai 2001, la Banque du Canada a annoncé qu'elle adoptait une nouvelle mesure de l'inflation fondamentale. Cette mesure exclut les huit composantes les plus volatiles de l'IPC ainsi que l'effet des modifications des impôts indirects sur les autres composantes. L'auteur se penche sur la définition de la nouvelle mesure de l'inflation fondamentale et décrit certains de ses avantages par rapport à l'ancienne. Il souligne que la nouvelle mesure a un fondement statistique plus solide, est plus conforme à la théorie économique et permet de mieux prévoir l'évolution de l'inflation dans son ensemble. Malgré tout, la Banque continuera de suivre l'évolution d'une vaste gamme d'indicateurs au moment d'évaluer la trajectoire probable de l'inflation.
15 mai 2001

www.banqueducanada.ca – La Banque dans le cyberespace

L'article, signé par le webmestre de la Banque, retrace l'évolution du site Web de l'institution et passe en revue certaines de ses caractéristiques. On y traite notamment d'infoBANQUE, une interface conçue spécialement pour les bases de données économiques de la Banque, qui permet aux visiteurs d'avoir accès à 220 séries chronologiques. L'auteur propose également une vue d'ensemble du volet politique monétaire du site ainsi qu'un aperçu des projets à venir. Mais, avant tout, cet article se veut une invitation à visiter notre site.
20 décembre 2002

Transparence et réaction des taux d'intérêt à la publication périodique des données macroéconomiques

Les avantages de la transparence — soit les résultats de l'ensemble des initiatives prises par la banque centrale pour permettre aux marchés financiers et aux agents économiques de comprendre les facteurs dont elle tient compte dans la formulation de sa politique monétaire — sont maintenant largement reconnus. Parmi ces avantages, on peut mentionner une mise en oeuvre plus harmonieuse de la politique monétaire et une efficacité accrue de cette dernière, à mesure que se développe l'aptitude des marchés à prévoir les décisions stratégiques de la Banque du Canada et à en tenir compte dans leurs opérations. La manière dont les taux d'intérêt réagissent à la publication des données macroéconomiques dépend du degré de transparence de la politique monétaire, les taux variant au gré des attentes des marchés. Avant les initiatives prises par la Banque pour améliorer la transparence — notamment l'adoption de cibles de maîtrise de l'inflation, la publication, deux fois l'an, du Rapport sur la politique monétaire et de ses mises à jour et la pratique des annonces à dates préétablies —, les modifications du taux du financement à un jour engendraient une certaine volatilité des taux d'intérêt, et la publication des données macroéconomiques canadiennes ne semblait pas influer beaucoup sur ces derniers. L'auteur montre que les efforts déployés par la Banque en faveur de la transparence ont eu pour effet d'accroître l'incidence de la publication de ces données sur les taux à court terme et d'améliorer la compréhension que les marchés financiers ont du processus de décision de la banque centrale.
2 juin 2006

Une nouvelle analyse de l'horizon de la cible d'inflation

Dans un régime de cibles d'inflation, la conduite de la politique monétaire suppose l'établissement d'un horizon pour l'atteinte de la cible, c'est-à-dire d'un délai moyen pour ramener l'inflation au taux visé. Les autorités monétaires ont tout avantage à communiquer cet horizon, car cela contribue vraisemblablement à ancrer les attentes d'inflation. Les auteurs s'intéressent particulièrement à la détermination de l'horizon approprié en exposant les résultats de deux récentes études de la Banque du Canada. D'après ces travaux, le délai actuel de six à huit trimestres demeure approprié. Il faut souligner que l'horizon optimal de la cible d'inflation varie beaucoup, selon la combinaison des chocs à laquelle l'économie est soumise. Dans les rares cas où un choc persistant, comme une bulle d'actifs, déclenche un mécanisme d'accélérateur financier, un horizon plus long pourrait mieux convenir.
20 novembre 2002

La CLS Bank : gérer le risque de non-règlement des opérations de change

Chaque jour, le volume des transactions se chiffre en billions de dollars sur le marché des changes. Le règlement de ces opérations chevauche plusieurs fuseaux horaires et entités juridiques et fait intervenir différents systèmes de paiement nationaux. En conséquence, les acteurs de ce marché se trouvent exposés à divers risques, dont le plus important est le risque de crédit, soit le risque qu'une contrepartie manque à ses obligations en matière de paiement. Pendant plus de dix années, les banques centrales, les institutions financières du secteur privé et les exploitants des systèmes de paiement nationaux ont travaillé en synergie afin de mettre au point un système de règlement des opérations multidevises à l'épreuve des risques. La Continuous Settlement Link Bank (CLS Bank), qui est entrée en activité en septembre 2002, est le fruit de ces efforts. Grâce à son mécanisme de paiement contre paiement, elle élimine presque entièrement le risque de crédit associé au règlement des opérations de change. La CLS Bank est réglementée par le Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale des États-Unis, en consultation avec les banques centrales des pays dont la devise est admise dans le système de règlement en continu. À l'heure actuelle, sept monnaies, dont le dollar canadien, transitent par ce système. La Banque du Canada fait office de banquier de la CLS Bank; elle fournit ainsi à cette dernière un compte de règlement et reçoit et dépose, en son nom, les paiements qui transitent par le Système de transfert de paiements de grande valeur. Grâce à la participation et au soutien des institutions mondiales les plus actives sur les marchés des changes et à l'admission de nouvelles devises, la CLS Bank pourrait bien devenir le mécanisme de règlement des opérations de change le plus important au monde.
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