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12 novembre 1997

Les systèmes de compensation et de règlement et la Banque du Canada

Les systèmes de compensation et de règlement sont indispensables au bon fonctionnement d'une économie de marché moderne comme celle du Canada. Au cours de la dernière décennie, le Canada et divers pays étrangers se sont employés à améliorer les systèmes électroniques de compensation et de règlement qui traitent les obligations de paiement, soit individuellement soit conjointement avec des opérations liées à l'achat et à la vente d'une foule d'instruments financiers tels que titres de dette, actions, devises ou produits dérivés. L'article passe en revue certains des risques que ces systèmes posent aux participants et aux utilisateurs finals et examine le rôle de la Banque du Canada à l'égard de ces systèmes. Depuis un certain nombre d'années, la Banque participe de façon informelle à la mise au point de grands systèmes de compensation et de règlement pour être sûre que le risque systémique est géré de façon appropriée. Promulguée en juillet 1996, la Loi sur la compensation et le règlement des paiements officialisait le rôle de la Banque en matière de surveillance des systèmes de compensation et de règlement aux fins de maîtrise du risque systémique. L'article décrit les responsabilités de la Banque à ce chapitre, ainsi qu'un certain nombre de nouveaux pouvoirs dont elle a été investie par la Loi et qu'elle pourrait exercer à l'égard des systèmes de compensation et de règlement.

Modelling the Behaviour of U.S. Inventories: A Cointegration-Euler Approach

Document de travail du personnel 1997-19 Iris Claus
On invoque souvent le cycle des stocks pour expliquer le ralentissement conjoncturel de l'activité économique, en partie parce que l'évolution des stocks peut amplifier les fluctuations cycliques de la production. Un fléchissement inattendu de la demande provoque généralement un gonflement involontaire des stocks, les entreprises n'ajustant leur production et le niveau effectif de leurs stocks par rapport au niveau qu'elles souhaitent détenir qu'après un certain temps.
7 octobre 1997

Les défis qui s'annoncent en matière de politique monétaire

Discours Gordon Thiessen Chambre de commerce de Vancouver Vancouver (Colombie-Britannique)
Je voudrais vous entretenir aujourd'hui de certaines des questions importantes et de quelques-uns des grands défis qui se poseront en matière de politique monétaire au cours des mois à venir ainsi que de la manière dont la Banque du Canada entend y faire face. Je ne m'aventure pas en terrain étranger, les défis étant le lot presque quotidien d'une banque centrale. Toutefois, la nature de ces défis a beaucoup changé au cours des deux dernières années.
16 septembre 1997

La tenue récente de l'économie canadienne et les prochains défis de la politique monétaire

Discours Gordon Thiessen New England-Canadian Business Council Boston (Massachusetts)
La dernière allocution que j'ai prononcée aux États-Unis remonte à un peu plus de deux ans. Depuis, la situation économique de nos deux pays a beaucoup évolué. Je demeure impressionné notamment par la tenue remarquable de l'économie américaine, qui a connu ces six dernières années une expansion soutenue ainsi qu'une forte création d'emplois et une faible inflation.

A Measure of Underlying Inflation in the United States

Document de travail du personnel 1997-20 Iris Claus
Une banque centrale ayant pour objectif premier de préserver la stabilité des prix doit pouvoir distinguer les chocs temporaires qui frappent les prix et les chocs persistants qui touchent le taux d'inflation. Il importe donc qu'elle dispose d'une mesure de l'inflation sous-jacente susceptible de la guider dans la conduite de la politique monétaire.

Les marchés du travail régionaux : une comparaison entre le Canada et les États-Unis

Document de travail du personnel 1997-17 Mario Lefebvre
Cette étude a pour but de comparer l'évolution des marchés régionaux de l'emploi au Canada et aux États-Unis. L'étude démontre que le degré de persistance du chômage dans les provinces canadiennes est nettement plus élevé que dans les régions américaines.
14 août 1997

L'incidence de la privatisation sur la situation des finances publiques au Canada

La privatisation, qui consiste dans le transfert d'activités du secteur public au secteur privé, s'est fortement développée sur la scène internationale dans les années 80 en raison de la nécessité de réduire les déficits budgétaires et des préoccupations croissantes au sujet de l'efficience des sociétés d'État et des bureaucraties gouvernementales. Cet article traite de la privatisation au Canada et de son incidence sur la situation financière des administrations publiques nationales. La privatisation a été en général moins rapide et moins étendue au Canada qu'à l'étranger, en partie à cause de la taille relativement réduite du secteur public canadien. Néanmoins, le gouvernement fédéral, les provinces et les municipalités ont réduit de plus en plus leur participation directe aux activités économiques en vendant des sociétés d'État, en sous-traitant la fourniture de services publics par des entreprises privées et en transférant au secteur privé la mise en oeuvre de projets d'infrastructure publique. L'incidence de la privatisation de sociétés d'État sur les finances publiques varie selon certains facteurs tels que la rentabilité de la société concernée, l'importance de l'investissement initial du gouvernement et les réductions de valeur passées. Normalement, lorsqu'elles s'inscrivent dans un objectif plus vaste d'assainissement des finances publiques, les privatisations contribuent à l'amélioration de la situation financière de l'État en réduisant ses besoins de financement et son endettement. Lorsqu'il y a privatisation de services et de projets d'infrastructure, on s'attend à ce qu'une gestion plus efficiente par le secteur privé entraîne une réduction des dépenses publiques. Par exemple, un groupe privé peut être en meilleure position que le secteur public pour gérer les risques financiers inhérents aux grands travaux d'infrastructure, tels que les dépassements de coût ou le retrait de certains entrepreneurs. Toutefois, le facteur clé qui détermine les gains d'efficience et la baisse des coûts est la concurrence, et non la privatisation en soi. Par conséquent, les économies pouvant résulter de la privatisation de services et de travaux publics dépendent très fortement des modalités des contrats. Dans l'ensemble, lorsqu'elles sont structurées de façon à encourager l'efficience économique, les privatisations sont de nature à améliorer la tenue de l'économie et, partant, à produire des gains à long terme sur les plans économique et budgétaire.
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