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10 août 1996

Les attentes d'inflation et les obligations à rendement réel

L'existence d'un marché au Canada pour les obligations à rendement réel permet de mesurer directement les attentes d'inflation en comparant les rendements de ces obligations et ceux des obligations ordinaires à long terme du gouvernement canadien. Toutefois, les attentes d'inflation mises à part, d'autres facteurs peuvent influencer les écarts de rendement. Les auteurs font remarquer après avoir passé ces facteurs en revue que ceux-ci peuvent générer un biais assez important dans la mesure du niveau des attentes d'inflation. Sur longue période, cependant, les modifications de l'écart de rendement peuvent s'avérer un bon indicateur des variations des attentes d'inflation à long terme. Selon cette mesure, les attentes d'inflation sont en baisse depuis la fin de 1994.

Avoiding the Pitfalls: Can Regime-Switching Tests Detect Bubbles?

Document de travail du personnel 1996-11 Simon van Norden, Robert Vigfusson
La mise au point de tests de détection des bulles spéculatives a occasionné bien des débats, principalement sur des points de méthodologie. Evans (1991) a démontré, au moyen de simulations de Monte-Carlo, que la présence de bulles est fréquemment rejetée par les tests standard de racine unitaire et de cointégration même quand des bulles ont été incorporées à la construction des données.

Unit-Root Tests and Excess Returns

Document de travail du personnel 1996-10 Marie-Josée Godbout, Simon van Norden
À en croire les résultats de plusieurs études menées récemment, il serait possible de représenter le logarithme des excédents de rendement observés sur le marché des changes et les autres marchés au moyen d'un processus intégré de premier ordre (I(1)).

Does Inflation Uncertainty Vary with the Level of Inflation?

Document de travail du personnel 1996-9 Allan Crawford, Marcel Kasumovich
L'objectif des auteurs est de tester l'hypothèse que l'incertitude entourant l'inflation s'accroît lorsque le taux d'inflation augmente. Ils fondent leur analyse sur l'utilisation de modèles autorégressifs conditionnellement hétéroscédastiques généralisés (GARCH), lesquels permettent à la variance conditionnelle du terme d'erreur de fluctuer dans le temps. Comme cette variance constitue une approximation de l'incertitude entourant l'inflation, la détection d'une relation positive entre elle et l'inflation viendrait étayer l'hypothèse examinée.

Interpreting Money-Supply and Interest-Rate Shocks as Monetary-Policy Shocks

Document de travail du personnel 1996-8 Marcel Kasumovich
Dans le présent document, l'auteur analyse deux types de choc au moyen de données canadiennes : un choc d'offre de monnaie (le choc M) et un choc de taux d'intérêt (le choc R). Pour identifier le premier type de choc, il recourt aux restrictions de long terme découlant de certaines propositions avancées par la théorie monétaire.

Excess Volatility and Speculative Bubbles in the Canadian Dollar: Real or Imagined?

Rapport technique n° 76 John Murray, Simon van Norden, Robert Vigfusson
Une plus grande intervention du secteur public est souvent recommandée en vue de contrer la spéculation accrue et la volatilité excessive des prix qui semblent caractériser de nos jours le système financier de libre concurrence qui existe à l'échelle mondiale.
Type(s) de contenu : Travaux de recherche du personnel, Rapports techniques Sujet(s) : Taux de change Code(s) JEL : C, C4, C40, F, F3, F31
27 juin 1996

Quelques grandes questions économiques de l'heure au Canada

Discours Gordon Thiessen London Chamber of Commerce London (Ontario)
Chaque année, le Conseil d'administration de la Banque du Canada tient l'une de ses réunions dans une ville autre qu'Ottawa, en alternant les régions. À mon vif plaisir, c'est London qui a été choisie cette année, ce qui m'offre la possibilité de vous entretenir de l'évolution récente de l'économie canadienne.
11 mai 1996

L'évolution récente des agrégats monétaires et ses conséquences

En 1995, l'agrégat au sens large M2+ a progressé à un taux annuel de 4,5 % – presque deux fois plus qu'en 1994 –, la concurrence des fonds mutuels ayant eu moins d'incidence, en termes de déplacement de fonds, sur les dépenses d'épargne des particuliers. L'agrégat M2+ corrigé de l'effet de la substituabilité étroite qui existe, par exemple, entre les OEC et certains fonds mutuels n'a progressé que de 3,4 %. L'agrégat M1 brut a augmenté de 8,2 % durant l'année, en raison de l'accroissement de la demande d'encaisses de transaction attribuable au repli des taux du marché et aux taux de rendement plus attrayants offerts par les banques sur les dépôts à vue des sociétés. La croissance vigoureuse de M1 brut au deuxième semestre de 1995 fait présumer que l'activité économique devrait progresser à un rythme modéré durant la première moitié de 1996, alors que la modeste croissance des agrégats au sens large indique un rythme d'expansion monétaire compatible avec le maintien d'un taux d'inflation bas. À l'occasion de cet examen annuel de l'évolution des agrégats monétaires, les auteurs présentent un nouveau modèle, fondé sur les écarts de M1 par rapport à son niveau de long terme, selon lequel le taux d'inflation devrait se maintenir juste au-dessous du point médian de la fourchette cible de maîtrise de l'inflation au cours des deux ou trois prochaines années.
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