23 décembre 2005 Revue du système financier - Décembre 2005 Le système financier contribue grandement au bien-être économique de tous les Canadiens. La capacité des ménages et des entreprises de détenir et de transférer en toute confiance des actifs financiers constitue en effet l’un des fondements de l’économie canadienne. Type(s) de contenu : Publications, Rapport sur la stabilité financière
22 décembre 2005 Soixante-dix ans d'activité : la Banque du Canada dans le contexte international (1935-2005) Revue de la Banque du Canada - Hiver 2005-2006 Michael Bordo, Angela Redish Bordo et Redish examinent l'évolution qu'ont connue les banques centrales au cours des 70 dernières années et mettent en lumière les périodes durant lesquelles le Canada a innové sur le plan des pratiques de banque centrale ou semblé suivre une démarche légèrement différente de celle des autres pays. Ils soulignent que les forces à l'oeuvre à l'échelle mondiale ont apparemment beaucoup influé sur l'inflation tout au long de ces 70 années, le Canada et les États-Unis ayant enregistré des taux d'inflation à peu près identiques même si leurs régimes de politique monétaire respectifs différaient sensiblement à certains égards. Le Canada, par exemple, s'est doté relativement tard d'une banque centrale, longtemps après la plupart des autres pays industrialisés. Le Canada a aussi été le seul pays à laisser sa monnaie flotter dans les années 1950 et au début de la décennie suivante, soit durant une bonne partie de la période régie par les accords de Bretton Woods. Il a en outre adopté des cibles d'inflation bien avant que les banques centrales de la majorité des autres pays n'en fassent autant, et il a introduit un certain nombre d'innovations au chapitre de la mise en oeuvre de la politique monétaire dans les années 1990. Type(s) de contenu : Publications, Articles de la Revue de la Banque du Canada Sujet(s) : Cadre de la politique monétaire, Inflation et prix, Taux de change
18 décembre 2005 Le régime de banque libre et la Banque du Canada Revue de la Banque du Canada - Hiver 2005-2006 David Laidler Les économistes du XIXe siècle ont beaucoup débattu des bienfaits d'un régime de banque libre, sous lequel chaque banque commerciale serait autorisée à émettre ses propres billets et dépôts, à condition d'en garantir la convertibilité par ses propres réserves d'or. Un tel régime, soutenaient ses partisans, assurerait la stabilité des prix tout en se révélant assez souple pour résister aux aléas du cycle économique, et cela en l'absence de banques centrales. Si cette idée a moins retenu l'attention ces dernières années, certains économistes la présentent encore comme une solution de rechange possible au système actuel. Laidler est d'avis que les tendances centralisatrices inhérentes à l'activité bancaire limiteraient inévitablement le caractère concurrentiel de celle-ci sous un régime de banque libre, laissant le champ libre à une seule institution dominante. D'autres facteurs marquants du XXe siècle, en particulier l'abandon de l'étalon-or et la reconnaissance générale du fait que les États doivent jouer un rôle déterminant dans l'établissement des objectifs de politique monétaire, ont également restreint la possibilité qu'un régime de ce type puisse fonctionner dans la pratique. Passant en revue l'histoire de la Banque du Canada sous l'angle du concept de liberté bancaire, Laidler conclut que le système actuel de poursuite de cibles d'inflation est plus apte à assurer un comportement ordonné des prix que ne le sera jamais une garantie de convertibilité sous un régime de banque libre. Type(s) de contenu : Publications, Articles de la Revue de la Banque du Canada Sujet(s) : Cadre de la politique monétaire
10 décembre 2005 Le dollar canadien : une perspective historique - par James Powell L'histoire de la monnaie canadienne apporte un éclairage unique sur la croissance et le développement de notre économie et de notre nation. Dans le présent ouvrage, James Powell retrace l'évolution de la monnaie canadienne, de ses origines, qui remontent à l'époque précoloniale, à nos jours. Ce faisant, il met en relief le chaos monétaire ayant caractérisé les débuts de la colonisation ainsi que les répercussions qu'ont eues les deux guerres mondiales et la Grande Dépression. Type(s) de contenu : Publications, Livres et monographies, Livres-souvenirs
8 décembre 2005 La construction d'une politique monétaire adaptée à la réalité canadienne Revue de la Banque du Canada - Hiver 2005-2006 John Chant Au moment de sa création en 1935, la Banque du Canada pouvait s'inspirer de deux modèles fort différents (ceux de la Banque d'Angleterre et de la Réserve fédérale américaine) pour concevoir les instruments de mise en oeuvre de sa politique monétaire. Même si, dans les débuts, certains éléments de la politique monétaire de la Banque — tels que le rôle du mécanisme de réescompte et le recours à la persuasion morale — ont été calqués sur l'exemple britannique, des différences importantes ont concouru au développement d'une approche spécifiquement canadienne. Chant décrit ce qu'il juge être des innovations typiquement canadiennes : le transfert des dépôts du gouvernement comme moyen privilégié de gérer la liquidité bancaire; l'adoption d'une méthode de calcul des réserves obligatoires basée sur les chiffres de la période précédente; et la décision de la Banque de laisser flotter le taux d'escompte à deux reprises. Il fait également un survol de la série de mesures audacieuses prises dans les années 1990 : simplification des procédures de compensation et de règlement, réduction des réserves obligatoires et établissement par la Banque d'une cible pour le taux du financement à un jour. L'auteur estime que ces changements ont amélioré l'efficience du marché, réduit les risques et l'incertitude et renforcé l'influence que la Banque exerce sur le taux à un jour, sa cible opérationnelle à court terme. Type(s) de contenu : Publications, Articles de la Revue de la Banque du Canada Sujet(s) : Mise en oeuvre de la politique monétaire
6 décembre 2005 La Banque du Canada : une histoire en images Cet ouvrage regorge d'images et d'anecdotes intéressantes relatives à la Banque et à la place que celle-ci occupe dans la société canadienne depuis 1935. Type(s) de contenu : Publications, Livres et monographies, Livres-souvenirs
2 décembre 2005 De la jeunesse à la maturité intellectuelle : rétrospective de l'évolution de la recherche rue Wellington Revue de la Banque du Canada - Hiver 2005-2006 John F. Helliwell Helliwell relate les transformations qu'a subies la Banque du Canada depuis le début des années 1960, période où s'est amorcée la relation soutenue que l'auteur entretient avec l'institution et les membres de son personnel. Évoquant d'abord son passage à la Commission royale d'enquête sur le système bancaire et financier (Commission Porter), Helliwell poursuit avec le récit des 40 années suivantes, en s'intéressant tout particulièrement aux activités d'analyse et de recherche de la Banque. Tout en prenant soin de reconnaître l'utilité de différentes méthodes d'analyse et de collecte de renseignements, comme la vaste enquête que lui et ses collègues ont menée par courrier et par des entrevues dans le cadre de la Commission Porter, Helliwell s'attarde aux activités de modélisation économétrique de l'institution, commencées avec les modèles RDX1 et RDX2 à la fin des années 1960 et au début de la décennie suivante. Il cite quelques-uns des obstacles internes et externes que la banque centrale a dû surmonter afin de poursuivre ses efforts de modélisation et explique comment les nouvelles tendances au sein de la profession posaient parfois des défis. En conclusion, l'auteur affirme que ces avancées ont aidé la Banque à parvenir à maturité et à devenir l'un des grands foyers internationaux de recherche empirique. Type(s) de contenu : Publications, Articles de la Revue de la Banque du Canada Sujet(s) : Modèles économiques, Recherches menées par les banques centrales
25 octobre 2005 Les exportations, les importations et l'appréciation du dollar canadien Revue de la Banque du Canada - Automne 2005 Richard Dion, Michel Laurence, Yi Zheng L'évaluation objective des effets que l'appréciation enregistrée par le dollar canadien en 2003 et 2004 a eus sur les importations et les exportations exige un examen détaillé des nombreux autres facteurs ayant pu entrer en ligne de compte. Dion, Laurence et Zheng analysent les influences qu'ont subies les échanges extérieurs du Canada ces deux dernières années, y compris les mouvements du taux de change, les chocs mondiaux ou sectoriels, les entraves à l'offre nationale de certains produits et la concurrence livrée par les économies émergentes, en particulier la Chine. L'analyse est complétée par des modèles économétriques que la Banque a mis au point et qui fournissent des estimations statistiquement valides de l'incidence de la hausse du dollar canadien sur le profil d'évolution récent des exportations et des importations. Type(s) de contenu : Publications, Articles de la Revue de la Banque du Canada Sujet(s) : Balance des paiements et composantes, Questions internationales, Taux de change
25 octobre 2005 Revue de la Banque du Canada - Automne 2005 Page couverture Des recueils pratiques Ce livre fait partie de la Collection nationale de monnaies de la Banque du Canada. Photographie : Gord Carter, Ottawa Type(s) de contenu : Publications, Revue de la Banque du Canada
22 octobre 2005 L'incidence de l'appréciation du dollar canadien sur les entreprises du pays : résultats des enquêtes de la Banque du Canada sur les perspectives des entreprises Revue de la Banque du Canada - Automne 2005 Jean Mair Pour savoir comment les entreprises ont été touchées par l'appréciation du dollar canadien en 2003 et 2004 et quelles mesures elles ont prises pour y réagir, la Banque a ajouté des questions à l'enquête sur les perspectives des entreprises que mènent chaque trimestre ses bureaux régionaux. Environ la moitié des firmes sondées ont déclaré être désavantagées par l'appréciation de la monnaie du pays, une sur quatre s'est dite avantagée, tandis que les autres ont affirmé que l'effet était neutre pour elles. Jean Mair classe et résume les réactions des entreprises, en indiquant les secteurs qui ont été les plus et les moins durement atteints. Elle explique pourquoi les firmes ont été favorisées ou pénalisées par l'appréciation du dollar. Elle examine aussi les mesures adoptées au fil du temps en réponse à l'appréciation pour voir ce qu'elles peuvent nous apprendre sur le processus d'ajustement des entreprises. Type(s) de contenu : Publications, Articles de la Revue de la Banque du Canada Sujet(s) : Balance des paiements et composantes, Évolution économique et financière récente, Taux de change