11 juin 2015
Lorie Zorn - Dernières parutions
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19 mai 2011
Les politiques des banques centrales en matière de garanties : enseignements tirés de l’expérience récente
Les politiques des banques centrales en matière de garanties ont joué un rôle critique lors de la récente crise financière, vu les interventions menées afin de soutenir la liquidité des marchés et d’atténuer les difficultés de financement auxquelles les institutions financières étaient confrontées. Les auteurs examinent les exigences de garantie des banques centrales et abordent trois domaines dans lesquels celles-ci peuvent utiliser ces exigences pour influencer les pratiques en vigueur sur les marchés financiers : la transparence, qu’il s’agit d’accroître pour les produits titrisés; les pratiques de gestion du risque de crédit, qui sont à améliorer; et la procyclicité associée à la gestion du risque de marché, qu’il faut atténuer. -
11 septembre 2009
Mesures de soutien à la liquidité mises en oeuvre par la Banque du Canada en réaction à la tourmente financière
En réponse à la crise financière de 2007-2009, la Banque du Canada est intervenue à maintes reprises pour restaurer la stabilité du système financier et contenir les effets de la crise sur l'économie canadienne. L'article décrit les mesures exceptionnelles de soutien à la liquidité que la Banque a mises en oeuvre durant cette période de même que les principes ayant guidé ses interventions. Une évaluation préliminaire des facilités de prêt à plus d'un jour créées par la Banque révèle que celles-ci ont constitué une importante source de liquidité pour certaines institutions financières et ont concouru, de façon générale, à atténuer l'incertitude au sein des marchés quant à la disponibilité du financement ainsi qu'à rétablir le bon fonctionnement des marchés monétaires. -
13 octobre 2007
Le calcul du coût des capitaux propres des entreprises canadiennes et américaines
Les coûts de financement sont importants tant pour les entreprises que pour l'économie en général, car ils influent sur les décisions d'investissement et, en fin de compte, sur la croissance économique. Les décideurs se préoccupent de ce que le coût du financement par capitaux propres pourrait être plus élevé au Canada qu'aux États-Unis, encore que les données empiriques à ce sujet ne soient pas concluantes. Si le coût du financement par actions au Canada est relativement élevé, il se peut en effet que les sociétés canadiennes entreprennent un moins grand nombre de projets porteurs de croissance. L'article résume les recherches menées par Jonathan Witmer et Lorie Zorn à l'aide d'une méthode actualisée – qui tient compte des caractéristiques de l'entreprise et de facteurs d'ordre plus général – relativement à la contribution des facteurs qui influent sur le coût des capitaux propres dans les deux pays. D'après leur échantillon d'entreprises, le coût des capitaux propres est d'environ 30 à 50 points de base plus élevé au Canada qu'aux États-Unis durant la période de 1988 à 2006, mais cet écart semble moindre après 1997. Ces résultats ont des implications sur le plan de la politique publique, en ce qui concerne notamment la taille des entreprises, la divulgation de l'information financière ainsi que la réglementation des valeurs mobilières et son application. -
Estimating and Comparing the Implied Cost of Equity for Canadian and U.S. Firms
En faisant appel à une méthodologie basée sur le modèle d'actualisation des dividendes et en exploitant des données relatives au prix actuel des actions et aux bénéfices anticipés par les analystes, les auteurs estiment le coût implicite des capitaux propres des firmes canadiennes et américaines. -