Partant de deux approches complémentaires, nous étudions l’influence des nouvelles macroéconomiques américaines sur les fluctuations à basse fréquence dans la structure par terme des taux d’intérêt au Canada, en Suède et au Royaume-Uni. Nous constatons que les nouvelles macroéconomiques des États-Unis jouent un rôle particulièrement important dans les variations de la composante d’anticipation des taux courts nominaux, des taux courts réels et du taux d’inflation au sein des petites économies ouvertes.