Alexander Ueberfeldt - Dernières parutions
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Are Bank Bailouts Welfare Improving?
Le renflouement public du secteur financier peut se révéler bénéfique en période de crise, mais aussi conduire à une prise de risques excessive si les établissements s’attendent à être sauvés par l’État. Nous tenons compte de ces anticipations et du risque global qu’elles peuvent engendrer, et montrons que les sauvetages publics peuvent améliorer le bien-être, mais seulement si les exigences de fonds propres réglementaires sont suffisamment contraignantes. -
The uneven economic consequences of COVID 19: A structural analysis
Au moyen d’un modèle structurel, nous étudions les répercussions économiques du choc de la COVID-19. Ses effets inégaux, comme la hausse du chômage chez les jeunes ménages, ont accentué les conséquences négatives sur la macroéconomie, les vulnérabilités des ménages et les inégalités de consommation. Les programmes d’aide publique ont stimulé l’économie et réduit les inégalités et les vulnérabilités à moyen terme. -
Monetary Policy and the Persistent Aggregate Effects of Wealth Redistribution
En présence d’une dette nominale et d’une offre de travail hétérogène, la politique monétaire crée un arbitrage : une mesure de relance économique à court terme mène à une production durablement réduite à moyen terme. Le ciblage du niveau des prix atténue cet arbitrage et réussit mieux à stabiliser l’inflation et la production que le ciblage de l’inflation. -
Shaping the future: Policy shocks and the GDP growth distribution
Les politiques mises en œuvre par les banques centrales et les gouvernements peuvent-elles influer sur les risques qui entourent les perspectives de croissance du produit intérieur brut (PIB)? Nous constatons que les mesures de relance budgétaire augmentent davantage les chances d’avoir une forte croissance du PIB – surtout lorsque la politique monétaire est contrainte – qu’elles ne font baisser les risques d’avoir une faible croissance du PIB. La relance budgétaire devrait donc accélérer la reprise après la pandémie de COVID-19. -
Managing GDP Tail Risk
La plupart des modèles de prévisions macroéconomiques ne tiennent pas compte du risque de crise, soit le risque d’une baisse marquée et soudaine du produit intérieur brut (PIB). Pourtant, les décideurs se préoccupent de ce type de risque extrême étant donné les coûts socioéconomiques substantiels qui en découleraient. -
How to Manage Macroeconomic and Financial Stability Risks: A New Framework
Les vulnérabilités du système financier accentuent les risques à la baisse pour les perspectives de croissance du PIB. Le resserrement des politiques macroprudentielles réduit considérablement les risques pour la stabilité financière liés à ces vulnérabilités. Les autorités monétaires doivent opérer un arbitrage entre les risques pour la stabilité financière et les risques macroéconomiques. -
28 novembre 2017
Analyse des vulnérabilités des ménages à l’aide de données fines sur les prêts hypothécaires
Les auteurs exploitent des données détaillées sur les prêts hypothécaires à l’habitation dans l’espoir de mieux comprendre les vulnérabilités associées au marché hypothécaire. Ils constatent que la proportion des prêts hypothécaires à faible rapport prêt-valeur est en hausse, tout particulièrement dans les régions où la croissance des prix des propriétés est forte. De surcroît, les destinataires de ces prêts ont une marge de manœuvre limitée en cas de choc défavorable, puisqu’ils ont des niveaux d’endettement élevés par rapport à leurs revenus, et qu’ils ont contracté des emprunts assortis de longues périodes d’amortissement. -
Monetary Policy Tradeoffs Between Financial Stability and Price Stability
Nous analysons l’incidence d’une politique de taux d’intérêt sur la stabilité financière dans un contexte de panique où les banques peuvent devoir rembourser un volume anormalement élevé de titres de dette, ce qui les obligerait à vendre des actifs à des prix de liquidation. -
Managing Risk Taking with Interest Rate Policy and Macroprudential Regulations
Nous construisons un modèle dans lequel les montants des placements en actifs risqués effectués par un intermédiaire financier ‒ la prise de risques ‒ sont excessifs en raison d’une limitation de la responsabilité et de l’assurance-dépôts.