Dans la présente note, l’auteur évalue la lisibilité des publications de la Banque du Canada au moyen d’une formule couramment utilisée pour ce type d’analyse. Il estime que les publications de la Banque sont plus difficiles à lire que les articles dans les médias et les textes que lisent vraisemblablement nos publics cibles. Les résultats de l’analyse donnent à penser qu’un style plus simple permettrait à la Banque de mieux atteindre ses objectifs de communication.