La « quête de rendements » : c’est par cette expression qu’est couramment expliqué le choix des régimes de retraite d’intégrer dans leurs portefeuilles davantage d’actifs non traditionnels. Nous montrons toutefois que les nouveaux portefeuilles comptent également plus d’obligations, procurent des rendements moyens plus bas et affichent des déficits de solvabilité réduits et moins volatils. Ces changements s’inscrivent dans une stratégie plus large destinée à atténuer le risque d’insolvabilité.