Biographie

Konrad Zmitrowicz est conseiller principal en politique au sein du département des Analyses de l'économie canadienne (AEC). Il contribue à la supervision de la production du Rapport sur la politique monétaire de la Banque. Konrad possède une vaste experience de l'analyse des marchés des produits de base ainsi que du suivi et des prévisions des économies canadienne et américaine. Auparavant, Konrad a occupé le poste de directeur de la Section des projections internationales (IPD), où il s'occupait principalement de la production des perspectives macroéconomiques trimestrielles à l'échelle mondiale. Konrad est titulaire d'une maîtrise en économie de l'université Queen's et d'une licence en commerce de l'université du Manitoba.


Notes analytiques du personnel

Low for Longer? Why the Global Oil Market in 2014 Is Not Like 1986

Note analytique du personnel 2016-11 Bahattin Buyuksahin, Reinhard Ellwanger, Kun Mo, Konrad Zmitrowicz
Au second semestre de 2014, les cours pétroliers ont connu une baisse marquée, soit une chute de plus de 50 % entre juin 2014 et janvier 2015. À première vue, cet effondrement des prix du pétrole présente des similitudes avec la situation de 1986.

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Documents d'analyse du personnel

Assessing the Impact of Demand Shocks on the US Term Premium

Document d’analyse du personnel 2018-7 Russell Barnett, Konrad Zmitrowicz
Pendant et après la Grande Récession de 2008-2009, la politique monétaire traditionnelle des États-Unis et de nombreux autres pays avancés s’est trouvée restreinte par la valeur plancher des taux d’intérêt nominaux. Plusieurs banques centrales ont mis en oeuvre des programmes d’achat massif d’actifs – regroupés plus communément sous l’appellation d’« assouplissement quantitatif » – pour accroître la détente monétaire.

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Publications de la Banque

Articles de la Revue de la Banque du Canada

16 novembre 2017

Les facteurs à l’origine de la baisse des prix du pétrole en 2014

Les prix du pétrole ont fortement baissé ces trois dernières années. Tant des facteurs d’offre que des facteurs de demande ont contribué à la chute marquée des prix du pétrole en 2014, mais la croissance de l’offre mondiale semble avoir été le facteur prédominant. Selon toute vraisemblance, les principaux facteurs auraient été la croissance étonnante de la production de pétrole de schiste aux États-Unis, les décisions relatives à la production de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et la croissance mondiale plus faible que prévu à la suite de la crise financière mondiale en 2009.

17 novembre 2016

Les supercycles des prix des produits de base : que sont-ils et que nous réservent-ils?

Puisque les prix des produits de base ont, au Canada, une incidence sur les termes de l’échange, l’emploi, le revenu et, en définitive, l’inflation, il importe de comprendre ce qui les fait varier. Depuis le début des années 1900, il y a eu quatre supercycles des prix des produits de base, que nous définissons comme de longues périodes d’envolée et d’effondrement pouvant s’étendre sur des décennies. Le supercycle actuel, qui est dans sa phase descendante, s’est amorcé après un choc de demande inattendu attribuable à la croissance en Chine et dans d’autres économies de marché émergentes, au milieu des années 1990. L’ampleur du ralentissement dépend de nombreux facteurs actuellement entachés d’incertitude.
13 mai 2014

Par-delà le taux de chômage : une évaluation en profondeur des marchés du travail canadien et américain depuis la Grande Récession

L’article dresse un portrait général de la situation du marché du travail au Canada et aux États-Unis depuis la Grande Récession. Y est aussi décrite une méthode simple permettant de synthétiser, dans un indicateur composite unique du marché du travail de chaque pays, l’essentiel de l’information analysée. Cet indicateur synthétique révèle que si le taux de chômage a évolué au Canada essentiellement en phase avec l’ensemble des conditions du marché du travail depuis la récession, son niveau pourrait traduire une légère surestimation de l’embellie récente de ce marché. Aux États-Unis, par contraste, le taux de chômage semble avoir largement exagéré l’amélioration des conditions sur le marché du travail.

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