Abeer Reza
Analyste principal
- Doctorat d’économie, Université Carleton (2013)
- Maîtrise d’économie, Université Carleton (2005)
- Baccalauréat en administration des affaires (finances), Institute of Business Administration, Université de Dhaka (2002)
Biographie
Abeer Reza est analyste principal au département des Analyses de l'économie internationale de la Banque du Canada. Ses travaux actuels sont axés sur le rôle des frictions financières dans la transmission des cycles économiques. Abeer Reza possède un doctorat d'économie de l'Université Carleton.
Documents d'analyse du personnel
Documents de travail du personnel
Exports and the Exchange Rate: A General Equilibrium Perspective
Comment les exportations d’un pays changent-elles lorsque sa monnaie se déprécie? Tout d’abord, les facteurs à l’origine de la dépréciation de la monnaie sont-ils importants? Nous constatons que cette relation varie grandement en fonction de la source des mouvements du taux de change. Nous concluons que la relation directe entre le taux de change et les exportations est faible au Canada.Household Heterogeneity and the Performance of Monetary Policy Frameworks
La hausse des inégalités de consommation et la trajectoire à la baisse des taux d’intérêt sont deux tendances importantes de l’économie à l’heure actuelle. Mais les implications possibles de ces tendances – et leurs interactions – selon le cadre de politique monétaire adopté sont mal comprises. Nous étudions le classement de divers cadres qui tiennent compte de ces tendances.International Transmission Channels of U.S. Quantitative Easing: Evidence from Canada
En réaction à la Grande Récession, la Réserve fédérale américaine a réduit son taux directeur à sa valeur plancher. Afin d’accentuer la détente monétaire, la banque centrale américaine a par la suite mis en oeuvre des achats massifs d’actifs, ce qui a eu pour effet de quadrupler la taille de son bilan.Publications de la Banque
Articles de la Revue de la Banque du Canada
Le point sur le taux d’intérêt neutre
Le taux d’intérêt neutre sert d’indice de référence pour évaluer le degré de détente monétaire et représente un point d’arrimage à moyen et à long terme pour le taux directeur réel. Les estimations du taux neutre mondial sont en recul depuis quelques décennies. Sous l’influence de facteurs comme le vieillissement démographique, la forte épargne des sociétés et la faible croissance tendancielle de la productivité, le taux neutre mondial continuera vraisemblablement de se maintenir à un bas niveau. Ces facteurs internationaux, de même que des facteurs nationaux, exercent des pressions à la baisse sur le taux neutre réel canadien, qui s’inscrit dans une fourchette estimative allant de 0,5 à 1,5 %. Ce bas niveau a d’importantes conséquences pour la politique monétaire et la stabilité financière.
La croissance lente : la nouvelle norme dans les économies avancées?
Cet article décrit et examine certaines des raisons le plus souvent proposées pour expliquer la croissance lente que bon nombre d’économies avancées continuent de connaître sept ans après la crise financière mondiale de 2007-2009. Cette reprise modeste s’apparente-t-elle à un cycle prolongé, survenu dans la foulée d’une crise financière? Découlerait-elle d’une insuffisance structurelle de la demande, qui est à l’origine d’une trappe à liquidité de longue durée? Ou s’agit-il essentiellement, du fait de sa nature, d’un phénomène d’offre résultant de facteurs démographiques et technologiques?Publications dans des revues
Autres
Travaux de recherche
- « Consumption Response to Investment Shocks under Financial Frictions »
Economics Letters, Elsevier, Vol. 123, no1, pages 50-53. - « House Prices, Consumption, and Government Spending Shocks »
(avec la collaboration de Hashmat Khan) Carleton Economic Papers 13-10, Université Carleton, départment économique. - « Search Frictions, Bank Leverage, and Gross Loan Flows »