Louis Poirier est un économiste principal au sein de la section des économies d’outre-mer. À ce titre, il est spécialisé dans le suivi de l'économie chinoise, européenne et des marchés émergents et il contribue à la création et à la communication des perspectives macroéconomiques mondiales de la Banque du Canada. Il est titulaire d’une maîtrise en économie de HEC Montréal.
Nous nous attendons à ce que la croissance de la production potentielle mondiale passe de 2,5 % en 2022 à 2,8 % d’ici 2026. Cette croissance est un peu plus modérée que nous l’avions anticipé dans l’évaluation d’avril 2022. Quant à la fourchette des estimations du taux neutre aux États-Unis, elle reste inchangée depuis la dernière évaluation annuelle, soit entre 2 et 3 %.
La croissance de la production potentielle mondiale devrait passer de 2,7 % en 2021 à 2,9 % en 2024. Elle est donc un peu plus lente que dans notre évaluation d’avril 2021. Quant au taux neutre aux États-Unis, il se situe actuellement dans une fourchette estimée allant de 2 à 3 %, soit 0,25 point de pourcentage plus élevée que celle publiée dans la dernière évaluation.
La présente note fait état de nos estimations de la croissance de la production potentielle dans l’économie mondiale jusqu’à l’horizon 2020. Dans l’ensemble, bien que nos estimations soient empreintes d’une incertitude considérable, nous nous attendons à un taux de croissance globalement stable de la production potentielle sur la période de projection, de l’ordre de 3,3 % en moyenne.
Dans la présente note, nous présentons nos estimations de la croissance de la production potentielle pour l’économie mondiale jusqu’en 2019. Bien que ces estimations soient entourées d’une incertitude considérable, globalement, nous prévoyons une légère augmentation du taux de croissance de la production potentielle à l’échelle mondiale, qui passerait de 3,1 % en 2016 à 3,4 % en 2019.
L’incidence des chocs des prix du pétrole sur l’économie américaine continue de provoquer de vifs débats parmi les spécialistes. Dans cette étude, nous examinons la réaction des consommateurs américains au choc négatif des prix du pétrole de 2014- 2015, au moyen de données représentatives issues du Consumer Expenditure Survey.
« Did U.S. Consumers Respond to the 2014-2015 Oil Price Shock? Evidence from the Consumer Expenditure Survey » (avec Patrick Alexander), The Energy Journal.
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