La présente étude montre que l’approche couramment employée pour estimer l’incidence des variations du taux de change sur les exportations totales, qui se base sur des régressions du taux de change effectif réel (TCER), implique des estimations biaisées des élasticités sous-jacentes. Nous proposons une nouvelle spécification reposant sur des régressions agrégées qui est compatible avec une dérivation des flux commerciaux bilatéraux par le modèle de gravité.