Lorsque les prêteurs ne sont pas en mesure de savoir d’emblée si un emprunteur a des biais cognitifs ou s’il est rationnel, ils utilisent un système de pointage pour déterminer avec quelle probabilité son comportement ira dans un sens ou dans l’autre. Cela entraîne un regroupement partiel des emprunteurs et signifie que les emprunteurs rationnels financent les coûts d’emprunt de ceux ayant des biais. Cette approche réduit, par le fait même, l’efficacité des politiques réglementaires qui ciblent les erreurs commises par les emprunteurs biaisés.
L'étude porte sur le choix à opérer entre capital humain général et spécifique. Ce choix implique un arbitrage du fait que le capital humain général, bien que moins productif, peut être facilement transféré d'une entreprise à une autre.